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TEL:
ASSURANCES
LIRE, C’EST S'‘INSTRUIRE
233-3407
D'ESCHAMBAULT
136, BOULE VARD PROVENCHER
GILBERT D'ESCHAMBAULT
247-4816
GILLES LANDRY
PROPRIETAIRE
(AUTOPA(
Parait depuis 194
12,000
Tirage
Vol. 64 No 21 SAINT-BONIFACE,
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JEUDI 26 AOÛT 1976
Les changements nécessaires à Ottawa
N.D.L.R.- Nous reprodui-
sons, pour ceux que les
choses sérieuses intéres-
sent, un important éditorial
du Directeur de l'excellent
ot influent quotidien de
Montréal LE DEVOIR, Claude
Ryan, qui résume la situa-
tion dans laquelle se trou-
vent présentement le parti au
pouvoir à Ottawa et son chef,
Pierre Elliott Trudeau.
Devant la crise de contian-
ce äui affecte son gouverne-
ment, on prête à M. Plerre
Eliiott-Trudeau la tentation
d'enfourcher de nouveau le
vieux dada du Parti libéral
pour tenter de se refaire une
vertu auprès des électeurs
anglophones qui le boudent.
Nous voulons parler, cela va
de soi, de l'unité nationale.
Les rumeurs les plus plau-
sibles prêtent au premier
ministre le dessein de dé-
clencher à l'automne un
“blitz’' autour de la constitu-
tion. Le “blitz' porterait sur
le rapatriement, Comme le
Québec serait vraisembla-
blement la seule province
— avec peut-être l'Alberta —
à s'opposer au projet, M.
Trudeau compterait démon-
trer de nouveau au pays qu'il
est le seul homme politique
d'envergure nationale à pou-
voir tenir tête impunément
au Québec sur une question
engageant l'essence même
du projet canadien.
D'autres rumeurs prêtent
à M. Trudeau l'intention de
déclencher une élection gé-
nérale sur la question du bi-
linguisme. Servi par la dé-
mission de M. Marchand, les
piaffements de ses jeunes
Turcs québécois et les difti-
cultés que semble devoir
éprouver la Commission
Chouinard-Heald-Sinclair, le
premier ministre songerait
suivant ces rumeurs à pas-
ser par-dessus la tête de ses
critiques pour s'adresser di-
rectement au pays sur la
question la plus brûlante de
toutes à l'heure actuelle,
À première vue, ces pro-
jets ne seraient pas contrai-
res à une tradition libérale
bien connue qui a consisté
depuis longtemps à marier
habilement le service de
l'unité aux intérêts électo-
raux du Parti. Dans le con-
texte actuel, M. Trudeau
jouerait toutefois gros jeu en
Le “bilinguisme”
au Nouveau-Brunswick
La Société des Acadiens
du Nouveau-Brunswick ac-
cuse le premier ministre de
la province, M. Richard Hat-
field, de se faire complice
de ceux qui prônent leur as-
similation.
Dans une lettre adressée
à M. Hatfield, le secrétaire
général de la Société, M.
Denis Losier, dénonce la dé-
vision de la commission
scolaire no 20 de Saint-Jean
ds ne pas accorder d'école
française aux jeunes Aca-
diens de cette ville.
Le porte-parole de la So-
ciété en conclut que le gou-
vernement est “trop lâche”
pour assurer aux Acadiens
le aroit de l'éducation dans
leur langue. “Encore une
fois, on vient de prouver que
les Acadiens sont de trop
dans leur province.”
La Société des Acadiens
allègue que le premier minis-
tre d'une province officielle-
ment bilingue se doit d’inter-
venir personnellement dans
( College
Universitaire
de
Saint
Boniface
233-0210
cette affaire et de voir à assu-
rer les droits des Acadiens
de Saint-Jean, considérant
que le gouvernement de la
province a reçu près de 536
millions du programme fé-
déral de bilinguisme en édu-
cation pt recevra cette an-
née un peu plus de huit
millions.
Le secrétaire général de
la SANB rappelle à cet égard
l'objectif de ce programme
tel que défini par le secréta-
riat d'Etat: “Les program-
mes de bilinguisme de l'édu-
cation visent à fournir aux
membres de la majorité de
langue officielle de chacune
des provinces et des terri-
toires la possibilité d'acqué-
rir une connaissance de leur
seconde langue officielle et à
permettre aux membres de la
minorité de langue officielle
de chacune des provinces et
des territoires de recevoir
leur éducation dans leur pre-
mière langue.”
(Suite, page 17)
optant pour cette stratégie.
Il a reçu un mandat de quatre
ans pour gouverner. || réus-
sira plus facilement à rega-
gner la confiance des élec-
teurs en utilisant les deux
ans qu'il lui reste pour préci-
ser sa façon de percevoir les
problèmes majeurs du pays
et renouveler les politiques
et les hommes qui doivent
l'aider à les résoudre.
En matière linguistique,
M. Trudeau a assis sa fortu-
ne politique sur le thème de
l'égalité. Or, autant ce thè-
me pouvait être efficace pour
lancer la carrière du premier
ministre à un moment où on
commençait à peine à se
pencher sérieusement sur la
question linguistique, au-
tant il risque à la longue de
desservir son auteur et le
pays tout entier s'il n'est pas
assorti de nuances essentiel-
les qui semblent répugner à
l'esprit féru de logique pure
de M. Trudeau,
Sans que M. Trudeau l'ait
nécessairement voulu ainsi,
sa politique de bilinguisme
a en effet été perçue à travers
le pays comme devant signi-
fier l'égalité absolue des
deux langues officielles. En
réalité, il pouvait s'agir tout
au plus d'une égalité relative
et circonstanciée. De là sont
nées maintes difficultés ré-
centes.
Au Québec, par exemple,
M. Trudeau a été déçu par la
Loi 22. Cette loi institue la
primauté du français dans
les divers secteurs de la vie
collective, tandis que M.
Trudeau aurait souhaité pou-
voir continuer à se réclamer
du bilinguisme québécois
pour justifier l'extension de
son propre projet d'égalité
linguistique à travers le
pays. Mais de fait, le bilin-
guisme, sous maintes for-
mes qui étaient devenues fa-
milières, n'a jamais été ins-
crit dans la vocation du
Québec. Sauf des domaines
d'activité limités et des z0-
nes géographiques faciles à
identifier, le Québec est en
effet à toutes fins utiles un
territoire francophone. C'est
à peu près toùt ce que dit la
Loi 22 qui a vivement indis-
posé M, Trudeau,
Dans les provinces anglo-
phones, le bilinguisme géné-
ralisé n'est pas davantage
promis à un avenir trop re-
luisant. Abstraction faite des
cas évidents de fanatisme,
l'extension du bilinguisme
se heurte en pratique à des
résistances plus fortes et
plus nombreuses qu'on ne
l'avait prévu. On n'a qu'à
{constater les reculs qu'en-
registre l'enseignement du
français langue seconde
dans les écoles secondaires
des provinces anglophones,
pour se rendre compte qu'on
est encore très loin de la
terre promise dont faisaient
rôver les premiers program-
mes audacieux (et coûteux)
du gouvernement Trudeau.
M. Trudeau est probable-
ment tenté de faire face de
front, suivant son tempé-
rament, aux difficultés. A-
vant de partir en croisade, il
aurait cependant avantage à
refaire sa géographie linguls-
tique du Canada et à aligner
de manière plus fonction-
nelle ses politiques sur la
réalité.
Au plan constitutionnel,
M. Trudeau aura d'excellen-
tes chances de remporter
une victoire immédiate s'il
déclenche à l'automne une
campagne unilatérale autour
du rapatriement de l'AANB.
Mais en pratique, il réussira
surtout à diviser les Québé-
cois entre eux et à couper
(Suite, page 13)
ON EST LÀ, ON T'ATTEND! Le Bureau de l'Education Française annonce une journée d'accueil pour la rentrée
scolaire, le 17 septembre. On se souvient du succès de cette journée, l'an dernier dont le thème était “lci, c'est
chez vous!”, On annonce cette année pour le 17 septembre toutes sortes d'activités dans l'école que l'on veut
être “la maison de l'amitié”. Il y aura, de même, un grand concours provincial d'affiches.
Renseignements:
Jeannette Arcand, au B.E.F. — 786-0126. La photo que l'on reproduit ici a été prise au cours de la fête de l'an
dernier.
Page 6 - Inscriptions
VOIR:
u Page 10 - Cours du Soir 5
Page 7 - Littérature canadienne «=
- Secrétariat bilingue
TA ARABE PEN
DEPOT ENS
Éditorial
COUP D'OkIL SUR LE CENTRE CULTUREL
Le Centre culturel franco-manitobain s'est retrouvé, le printemps
dernier, accablé d'un déficit de soixante-sept mille dollars, Cha-
cun a expliqué ce déficit à sa façon, c'est-à-dire selon sa concep-
tion personnelle de la situation, du rôle de l'administration du
Centre, de l’ “obligation” des gouvernements de pomper des
fonds — des fonds publics — dans les organismes, groupes, entre:
prises culturelles,
Il'existe, chez un certain public, une notion que l'argent, comme
disait un jour un honorable sénateur membre d'un comité qui
enquêtait sur les dépenses d'un organisme gouvernemental, que
“l'argent, disait-il, ça pousse dans les arbres”, Si l'on se meut dans
les domaines de la ‘’culture”’
on en vient à s'imaginer quelque peu à part du flot humain, ce flot
qui va et revient chaque matin et chaque soir pour se rendre au
travail et en revenir, afin de gagner son pain comme on disait au-
trelois, expression qui représente aujourd'hui une valeur périmée
chez certains, De lé, il n'y a pas loin à croire véritablement que
l'on est “‘élu”, en quelque sorte ‘chargé d'une mission”, et qu'à
ce moment, on peut se lancer dans toutes sortes de projets plus
ou moins utiles dont les coûts de réalisation importent peu, fort
que l'on est de la conviction que “le gouvernement paiera”
Tout cela est dit généralement, ne l'est nullement en pensant par-
ticulièrement au Centre culturel franco-manitobain.
Donc, le C.C.F.M. s'est retrouvé chargé d'un déficit considérable.
Normalement, le conseil d'administration de | ‘organisme prit des
mesures pour éviter la dégringolade. Du personnel fut mis à pied,
les dépenses furent réduites, etc.
Un directeur intérimaire s'installa au Centre, en attendant la no-
mination d'un nouveau directeur, avec mission de tenir le bateau
à flot, d'enquêter sur la situation et de faire des recommandations
en vue d'éviter que ce qui-venait de se passer se répète.
Ces jours derniers, un nouveau directeur prit les rênes de l'entre-
prise, et l'administrateur qui avait assuré l'intérim présenta son
rapport. En bon administrateur, il se préoccupe de l'aspect finan-
, des beaux-arts, voire même des sports,
vités et des actions qui généreraient des revenus. Ce rapport fut
soumis au ministre des À ffaires culturelles de la Province.
Jetons un coup d'oeil sur un autre aspect de la situation, Au dé:-
but du rapport, l'administrateur cite le texte qui définit le mandat
du C.C.F.M., texte qui fait partie du document d'incorporation
du C.C.F.M. : ‘Conserver, encourager et parrainer, par tous les
moyens possibles, toutes activités culturelles en langue française
et rendre accessible à tous les habitants de la province la culture
franco-canadienne”".
Voilà un large mandat, Quelles en sont les limites? C'est-à-dire
jusqu'où peut-on, doit-on aller? Le rapport de l'administrateur
dit qu'il faudra du “bénévolat”, C'est bien, Seulement, on sait que
le bénévolat n'est pas nécessairement synonyme d'efficacité, de
compétence.
Côté action, on se tourne vers “l'animation. Qu'est-ce qu'un
animateur? Comment forme-t-on des animateurs? Ici encore,
gare à l'amateurisme,.
Côté activités qui généreraient des fonds pour compléter les sub-
ventions des gouvernements, on à parlé récemment de bien des
choses, y compris d'activités sportives. Et quelqu'un a posé la
question : Le C.C.F.M. sera-t-il un centre communautaire, un cen-
tre culturel, un centre récréatif, un centre sportif, voire un centre
de services? Ce à quoi on a répondu qu'il ne s'agissait pas de
“changer le nom” du C.C.F.M....
Le C.C.F.M, doit, par son action, par ses activités, doit répondre,
dit-on encore, aux besoins (le rapport dit “besoins réels de la cul-
ture franco-manitobaine"). A-t-on jamais défini ce que sont ces
besoins? A-t-on défini ce que l'on entend par ‘’culture”’, “‘’cultu-
rel”. S'agit-il seulement des beaux-arts? Où la culture n'est-elle
pas plutôt une civilisation, un mode de vie, un ensemble des cou-
tumes d'un peuple?
On pourrait poursuivre ainsi longtemps. [1 y a, enfin, que le Cen-
tre culturel franco-manitobain ne doit pas être le territoire gardé
cier de l'existence du Centre, et à ce poste, il prévoit que le C.C.
F.M. devra ‘’se limiter‘’, pour l’année courante, à un budget de
‘un peu plus de $200,000” qu'il considère comme ‘une restric-
tion financière”. Pour l'année 1977-1978, $260,000 seraient re-
quis alors qu'il faudrait $350,000 pour 1978-1979. Ces fonds
proviendraient de ‘trois sources”, soit le gouvernement fédéral,
le gouvernement provincial, et le C.C.F.M. lui-même par des acti-
ou non d'un petit groupe. Le C.C.F.M. doit être mis au service
de toute la population française canadienne du Manitoba.
Le conseil d'administration du Centre culturel franco-manitobain
et son nouveau directeur ont du pain sur la planche. Nous ne pou
vons que leur souhaiter bonne chance et les assurer de notre appui.
Jean-Jacques Le François
Texte intégral du nouveau règlement
sur l’usage des langues dans les airs
® Voici le texte du nouveau règlement du gouverne-
ment fédéral, présentement en vigueur et qui doit régir
l'usage des langues officielles dans les communica-
tions aériennes pendant que la Commission Choui-
nard-Heald-Sinclair fera son enquête. Ce règlement est
le “prix” de l'accord Lang-CALPA-CATCA.
TITRE ABRÉGÉ
(1) La présente ordonnance peut être citée sous le
titre: Ordonnance sur les normes et procédures des
communications aéronautiques.
INTERPRÉTATION
(2) Dans la présente ordonnance, ‘services consul
tatifs' désigne les communications en phonie four-
nies à titre de renseignements sur la sécurité des vols,
y compris les renseignements de météorologie
aéronautique et les comptes rendus portant sur l'état
des aérodromes, les aides de la navigation aérienne et
d'approche; ‘station aérienne” désigne un aéronef
muni d'une installation radio qui peut servir aux com-
munications bilatérales en phonie avec une station
au sol où un autre aéronef; “station au sol” désigne
une station radio aéronautique exploitée par le minis-
tère des Transports afin de fournir le service aux opé-
rations de vol au Canada et qui peut servir aux com-
munications bilatérales en phonie avec un aéronef;
“zone de contrôle intégral” signifie une zone de contrô-
le déterminée qui est désignée et définie dans le
Designated Airspace Handbook publié sur directive du
Ministre.
GÉNÉRALITÉS
(3) Les stations aériennes et les stations au sol si-
tuées dans la province de Québec sont autorisées à
fournir au pilote commandant de bord d'un aéronef les
services consultatifs en français
a) lorsque le pilote choisit que ces services lui soient
fournis en français en adressant son premier contact
radio à la station en français; et
b) seulement lorsque l'aéronef est manoeuvré con-
formément aux règles de vol à vue.
(4) N'importe quelle station au sol d'un aérodrome
de la province de Québec énuméré à l'annexe, telle que
modifiée de temps à autre, est autorisée à utiliser le
français afin de fournir les services de contrôle de la
circulation aérienne au pilote commandant de bord
d'un aéronef dans la zone de contrôle intégral et sur
l'aire de manoeuvre de l'aérodrome.
a) lorsque le pilote choisit que ces services lui soient
fournis en français en adressant son premier contact
radio à la station en français et
b) seulement lorsque l'aéronef est manoeuvré con-
formément aux règles de vol à vue.
(5) En cas d'urgence, lors d'un vol au-dessus de la
province de Québec, le pilote peut communiquer en
français avec une station aérienne ou une station au
sol située dans cette province pour toute question rela-
tive au cas d'urgence
(6) Sauf les cas d'autorisation des articles 3 et 5, il
est interdit à quiconque exploite une station aérienne
ou une station au-sol au Canada de transmettre des
services consultatifs ou des autorisations, des instruc-
tions ou des procédures du contrôle de la circulation
aérienne, ou d'y répondre, dans une autre langue que
l'anglais
Annexe:
1 - Québec;
2 - Saint-Jean;
3 - Sept-lles;
+
4 - Baie-Comeau:
5 - Saint-Honoré:
6 - Val d'Or
Journal hebdomadaire publié le jeudi par
Presse-Ouest, Limitée, au service des 12,000
foyers du Manitoba français.
Membre de la M.W.N.A. et des Hebdos du
Canada
DIRECTEUR : Marcien Emond.
RÉDACTEUR EN CHEF Jean-Jacques
Le François. JOURNALISTE COOPÉRANT:
Albert Lemmel
SERVICE DES ANNONCES COMMER-
CIALES : Au téléphone: 247-4824.
LIBERTE, jeudi 26 août 1976
LA LIBERTÉ
Toute correspondance doit être adressée
à LA LIBERTÉ. Case postale 96, Saint-
Boniface, Manitoba, R2H 3B4,
Au téléphone : 247-4823.
L'abonnement annuel coûte $7.50 au Canada.
$8.50 aux Etats-Unis, et $9.50 dans les autres
pays.
LA LIBERTÉ est imprimée sur les presses de
Kingdon Printing (1974) Ltd., 807, rue Erin,
Winnipeg, Manitoba R3G 2W2.
Enregistrée comme courrier de deuxième
classe : no 0477.
+
0
Cher monsieur Le François,
Je tiens par la présente à
vous remercier pour l'espace
accordé dans votre journal
depuis un an pour tenir les
lecteurs informés des pro-
grès au Village Canadien
Coop Ltée. En particulier,
je vous remercie d'avoir jugé
bon de faire paraître la photo
du Mini-Village en première
Lettre du Village...
page la semaine dernière,
Inutile de dire que ce geste
a plu énormément à trois
jeunes résidents qui ont oeu-
vré plusieurs heures à
ce projet.
D'ici Noël nous espérons
voir la moitié de nos unités
occupées et nous profitons
de cette lettre pour réitérer
notre invitation à tous vos
lecteurs intéressés à décou-
vrir la formule coopérative
et à communiquer avec
nous.
Félicitations pour vos édi-
toriaux et l'amélioration no-
table du journal!
Encore une fois merci.
Claude Gagné, gérant
Village Canadien Coop Ltée
Téléphone temporaire:
257-4580
C'INSURRECTION DE 1837-1838
3 - Le vent de la révolte souffle
par JEAN-JACQUES LE FRANÇOIS
EXTRAITS DU DISCOURS DE PAPINEAU
"(...) Il y a quelques années lorsque vo-
tre ancien représentant, toujours fidèle à
vos intérêts et que vous venez de choisir
pour présider cette assemblée, vous
servait au parlement, lorsque bientôt après
lui, en 1810, un mauvais gouverneur jetait
les représentants en prison; depuis ce
temps les représentants ont chassé les
mauvais gouverneurs, Autrefois, pour gou-
verner et mettre à l'abri des plaintes de
l'assemblée les bas courtisans ses com-
plices, le tyran Craig était obligé de se
montrer, pour faire peur, comme bien plus
méchant qu'il était. || n'a pas réussi à faire
peur, Le peuple s'est moqué de lui, et des
proclamations royales, des mandements
et des sermons déplacés, arrachés par sur-
prise, et fulminés pour le frapper de ter-
reur, Aujourd'hui pour gouverner, et mettre
les bas courtisans ses complices à l'abri
de la punition que leur a justement infli-
gée l'assemblée, le gouverneur est obligé
de se montrer larmoyant pour faire pitié,
et de se donner pour bien meilleur qu'il
n'est en réalité. Il s'est fait humble et ca-
ressant pour tromper. Le miel, sur les lè-
vres, le fiel, dans le coeur, il a fait plus de
mal par ses artifices que ses prédéces-
seurs n'ont fait par leurs violences; néan-
moins le mal n'est pas consommé, et ses
artifices sont usés; la publication de ses
instructions qu'il avait mutilées et mésin-
terprétées; la publication des rapports,
dans lesquels l'on admet que cette ruse
lui était nécessaire pour qu'il pût débuter
dans son administration avec quelque
chance de succès, ont fait tomber le
masque. || peut acheter quelques traîtres,
il ne peut tromper des patriotes, Et comme
dans un pays honnête le nombre de lâches
qui sont en vente et à l'encan ne peut pas
être considérable, ils ne sont pas à crain-
dre (..,)
"Je dois le dire, ce n'est ni la peur ni le
scrupule qui me porte à dire que l'heure n'a
pas sonné où nous devons répondre à cet
appel (aux armes), Ce n'est pas la peur; si
la nécessité y était, la force du pays, dans
son éloignement de l'Angleterre et sa prox-
imité des Etats-Unis, pourrait effectuer cet
objet, Ce n'est pas le scrupule; quicon-
que est famillarisé avec la connaissance
de l'histoire de la juste et glorieuse révo-
lution des Etats-Unis, voit un concert sl
unanime des hommes les plus éclairés et
les plus vertueux de tous les pays du mon-
de, qui applaudissent à la résistance hé-
roïque et morale, qu'opposèrent les Améri-
cains à l'usurpation du parlement britan-
nique, qui voulut les dépouiller et appro-
prier leur revenu, comme il prétend aujour-
d'hui faire du nôtre, que ce serait pour
ainsi dire s'associer aux réputations les
plus grandes et les plus pures des temps
modernes, que de marcher avec succès
dans la voie qu'ont tracée les Patriotes
de ‘74, La situation des deux pays est dif-
férente, et nos amis d'Angleterre ne la
comprennent pas, quand ils nous croient
dignes de blâme et une race inférieure, si
nous ne résistons pas de suite. Je con-
nais un peu mon pays pour avoir étudié
son histoire, pour avoir été par les cir-
constances, jeté depuis trente ans de la
manière la plus active dans les embarras
(Suite, page 12)
La France délègue un coopérant
à LA LIBERTÉ
L'Actualité
AU PAYS DE QUÉBEC
Je m'arrête, tard un soir, dans une petite ville de province.
Une petite ville, enfin, 35,000 habitants. Attroupement, On
discute, Je suis curieux, décide d'aller voir ce qui se passe.
{l y a que devant l'hôtel, l'un des hôtels du lieu, une voiture
en a heurté une autre. C'est comme ça. Les voitures heurtent
les voitures, Mais au Pays de Québec, il y a des lois...
Un jeune costaud et sa petite amie ont décidé à cette heure
tardive de s'offrir un tour de danse, Enfin... Il faut quand mé-
me parquer la voiture, Le manque d'espace ne constitue pas
un problème. Quand il n'y a pas de place, on s'en fait une.
Mais les “’brakes ont collé”. Et la bagnole a dévié, Et enfoncé
une automobile toute neuve, une belle familiale, qui dormait
là, tranquille.
On en cherche le propriétaire qui demeure introuvable. Deux
ou trois fois, les garçons de l'hôtel, en vestes écarlates sont ve-
nus annoncer: “’Yé pas icitte”’,
De la petite foule qui déborde du trottoir sur la chaussée, les
mots d'esprit fusent, Quelqu'un annonce qu'on a téléphoné à
la police. Là, tout va s'arranger. Tout le monde attend, comme
si un événement important allait se produire.
Et la sirène. Et le feu rouge, clignotant. Les policiers.
— Ouais, pas mal de dommage...
— Bah! j'va payer...
— Tu vas me montrer ta licence...
— J'lai pas avec moé. J'train' pas ça sus moé, Mé c'ta moé
l'char. J'travaille à...
— As-tu des assurances?
— Bah! j'va payer...
Du trottoir, une grosse voix: “Y s'sent riche à souère! ”’
— Ouais... ben tu vas venir au poste demain.
— Sais-tu, demain, ça fait pas mon affaire...
- Ben, viens après-demain, à in heure.
— J'peux pas. J'irai à in heure et demie...
— Ouais...
Le policier inspecte de nouveau la voiture endommagée et
décide de faire venir une remorqueuse pour dégager la bagno-
le dont le pare-chocs est solidement ancré sous le garde-boue
avant de l'autre véhicule. Son compagnon, demeuré dans l'au-
to de patrouille, lance le message par la voie des airs.
Dans la rue, les jeunes gens se sentent en forme. L'un d'eux
décide qu’ ‘on est assez d'hommes icitte pour lever ca”. Eten
un tour de main, c'est fait.
Le policier examine encore une fois les dommages, se re-
tourne vers l'assistance:
— O.K, la, tout est correct? Salut!
PS
ALBERT LEMMEL est un jeune homme qui fait présentement son Ser-
vice National et dont les talents de journaliste sont prétés à LA
LIBERTÉ par la France au titre de la coopération militaire.
Albert Lemmel a 22 ans. Il est né dans une région de France qui a de
tout temps été perturbée par des problèmes linguistiques, l'Alsace.
On y parle couramment deux langues aux structures totalement diffé-
rentes: l’alsacien, langue maternelle, et le français, langue officielle,
actuellement parfaitement assimilée. Notre nouveau collègue a
toujours vécu en Alsace. || a passé trois ans au centre universitaire
d'enseignement de journalisme à l’Université de Strasbourg.
Il a principalement travaillé dans la presse électronique. || a été employé
pendant un an et demi par la chaïne de radio et télévision régionale FR3,
Alsace, où il fut animateur d’une émission du matin, et se spécialisa
dans le reportage sur le vif, hors studio. Il fut aussi producteur et ani-
mateur d’une émission dialectale sur les minorités françaises,yalsacien-
ne (bretonne, catalane, occitane, basque, et autres). Son principal su-
jet: “Le complexe alsacien”, complexe d’origine linguistique mais aussi
politique puisque au fil des guerres entre la France et l'Allemagne, cette
région a été ballotée tant de fois d’un camp à l’autre.
Albert Lemmel pratique les sports — le canoë, le ski de fond, le volley
ball, l'athlétisme (il a lancé le marteau), les courses en montagne. Côté
études, il se tourne vers la psychologie et il compte bien s'informer ici
sur toutes les techniques et thérapies nouvelles.
Nous lui souhaitons la plus cordiale bienvenue et un heureux séjour
parmi nous.
Le feu rouge clignotant disparait dans la nuit. Les curieux
se dispersent.
[1 fait chaud, Je décide de marcher un peu.
Feu clignotant. Orangé, cette fois. La remorqueuse.
— Où çé qu'y é l'accident?
— J'ai l'impression qu'il m'accuse...
— Ah! mais, c'est fini; ils sont partis.
— Tabar...!
Vous êtes d'accord? Vous n'êtes pas d'accord?
Vous avez quelque chose à dire? Ecrivez. Donnez
votre opinion. Les LETTRES À LA LIBERTÉ sont
Jean de Lotainville
Les LETTRES À LA LIBERTÉ
lues.
DRE SR PRE
LA LIBERTÉ, jeudi 26 août 1976 / 3
Le Collège au Service
de la Communaute
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MAJEURES & MINEURES
AU NIVEAU UNIVERSITAIRE
S D'ÉTUDES Le secteur universitaire du C.U.S.B. offre des programmes d'études de
| PROGRAMME concentrations ‘‘Majeures"” (5 cours) et de concentrations ‘Mineures” (3
| e Programmes de concentrations majeures [5 cours] et mineures [3 cours] cours) en vue de l'obtention d'un B.A. général ou d'un B.$c., ou en vue
3 £ ne de l'entrée à une faculté spécialisée et/ou professionnelle dans les univer-
} e Programmes du B.A. [latin-philosophie] et du B.A. général avec majeures sités canadiennes, dans les disciplines suivantes
et mineures
: si MAJEURES et MINEURES en: MINEURES en:
j e Programme du B.Sc. général. ee Qu
| : | À PR RE . RENE P Littérature anglaise Langue française
e Préparation à l'entrée dans une faculté spécialisée des universites Littérature française Littérature canadienne-française
Î canadiennes Langue et littérature française Histoire du Canada
D | e Programme du B.A., spécialisation en français, l'équivalent d'une Anthropologie Géographie
pré-maitrise Histoire Politique
{ e Programme de formation des professeurs conduisant au brevet Philosophie Physique
d'enseignement manitobain et a | obtention du B. Ed Psychologie Sciences biologiques: micro-biologie
{institut Pédagogique] Religion et zoologie
e Cours du soir accrédités ou non-accredites pour adultes intéresses au Sociologie (et des cours en Economique)
perfectionnement du français ou à d'autres disciplines Mathématiques
e Cours accrédités “hprs-campus” dans les régions rurales. Chimie
l e Programmes spéciaux, du genre collégial et professionnel, en sciences (Majeures à l'étude: Politique,
l du secrétariat bilingue et autres domaines où le français est un atout Economique, Langues)
| professionnel dans cette province Le C.US.B offre une centaine de cours académiques à l'intérieur de ses
{ e Programmes d'études de l'apprentissage du français comme langue programmes de concentrations “Majeures et Mineures”, Plusieurs cours sont
seconde. offerts l'été ou le soir, au Collège où “hors-campus”
DEGRÉS UNIVERSITAIRES É
DÉBOUCHÉS & CARRIÈRES L'INSTITUT PEDAGOGIQUE
|
Après un an du B.A. ou du B.Sc.: | Après deux ans du B.A. où du B.Sc L'Institut offre un choix d'une quarantaine de cours professionnels d'éduca-
Travail social Pharmacie Droit Médecine dentaire tion dans les domaines tels que ‘fondements et psychologie de l'Education,
Education Art dentaire Médecine Education administration et organisation scolaire, enseignement des humanités et des
sciences.”
Le C.U.S.B. prepare l'étudiant a l'obtention
du B.A. général (3 ans d'études)
du B.Sc. (3 ans d'études)
| L'Institut pédagogique du. C.U.S.B. permet aux candidats qui aspirent à
| du brevet d'enseignement élémentaire (3 ans)
enseigner dans les écoles élémentaires et secondaires de suivre tous les
cours academiques et tous les cours professionnels requis pour l'obtention
: du brevet d'enseignement
du brevet d'enseignement secondaire (4 ans) J
du B.Ed. (élémentaire ou secondaire, apres 4 ans d'études) Ils peuvent le faire en s'inscrivant directement en éducation, après leur
12e annee, en vue de l'obtention du brevet primaire et élémentaire après
trois ans d'etudes, ou en vue de l'obtention d'un baccalauréat en éducation
(B.Ed.) apres 4 ans d'études. On peut aussi choisir de prendre une année
d'etudes professionnelles apres l'obtention d'un premier grade universitaire
Le C.U.S.B. offre aussi un programme d'études (4 ans) conduisant à
| l'obtention d'un B.A. AVEC SPECIALISATION en “français” ce qui equivaut
| à une pré-maitrise.
| Le C.U.S.B. prépare a une MULTITUDE d'emplois qui demandent une
| formation de base genérale et variée dans les Scierices Humaines et les
Lettres, tel que demontre par une enquête aupres des diplomes du
| C USB. des quinze dernieres années SECRÉTARIAT BILINGUE
e Clerge
e Journalisme (Presse — Radio — Television) LES SCIENCES DU SECRETARIAT BILINGUE visent à donner à la future secre-
e Administration gouvernementale et para-gouvernementale taire un niveau superieur de compétence en français et en anglais, une
e Enseignement (Enseignants aux niveaux primaire et secondaire formation technique adequate en dactylographie bilingue et en stenographie
Directeurs d'école — Professeurs et Recherchistes universitaires - bilingue tout en la préparant à devenir secrétaire medicale, où secretaire
Professeurs de langues) juridique, ou secretaire-comptable, etc., Selon la demande et les besoins
Techniciens et techniciennes de santé requis. Le directeur et le personnel du programme de sciences du secretariat
Professions libérales (Bibliothécaires — Travailleurs sociaux et aideront eventuellement l'étudiante à se trouver un bon emploi après les
orienteurs — Comptables — Psychologues) 2 ans d'etudes, où à s'inscrire à un programme conduisant à un diplôme
e Travailleurs en services récréatifs ou grade universitaire
La
DTA DÉPDTAPT AT 6 AAC UND 0: eue EE
_———… - mm
DU CÔTÉ DE LA CUISINE
La mise en conserve
des fruits
et des légumes
(suite)
5 STÉRILISER
Stériliser les aliments immédiatement après la fermeture des
récipients, pendant qu'ils sont encore chauds,
BAIN D'EAU BOUILLANTE
Les fruits, jus et tomates sont ordinairement stérilisés dans
un bain d'eau bouillante, soit une grande marmite où une
bouilloire munie d'un couvercle fermant hermétiquement., On
met au fond une claie qui permet à l'eau de circuler sous les
bocaux ou les boîtes, Cette claie peut être de fil de fer, de
tôle perforée ou de lattes de bois, || faut que la bouilloire soit
assez profonde pour que les contenants soient recouverts
de deux pouces d'eau au moins, Si l'eau ne recouvre pas les
récipients, les produits ne cuisent pas de façon égale et peu-
vent se décolorer.,
Placer les bocaux sur la claie à 1 pouce l'un et l'autre dans le
bain d'eau bouillante, La bouilloire employée pour la stérili-
sation doit être remplie à moitié d'eau à la température voisi-
ne de celle des bocaux. On peut empiler les boîtes, pourvu
qu'il y ait suffisamment d'espace pour que l'eau circule tout
autour, par-dessus et en-dessous de chacune d'elle, Ajouter
de l'eau bouillante pour couvrir d'au moins deux pouces tous
les récipients; ne pas verser d'eau bouillante directement sur
les couvercles de verre car ils pourraient éclater.
Recouvrir hermétiquement la marmite ou bouilloire de son
couvercle et amener l'eau au point d'ébullition. Commencer
à compter la durée de stérilisation à partir du moment où
l'eau bout vigoureusement (non pas lorsque les premières
bulles sortent), L'eau doit bouillir à gros bouillons pendant
toute la durée de la stérilisation
bouillante si cela gst nécessaire, Ste
plus d'eau
riliser pendant le temps
durées de stérilisation au ‘bain
Sortir immédiatement les
pour prévenir tout excès de
il0rs ajouter
requis selon le Tableau des
d'eau bouillante
d'eau bouillante
récipients du bain
uI580n
Sceller et refroidir les bocaux tel qu'indiqué
CUISEUR SOUS PRESSION
Lorsque l'on fait usage de cuiseur sous pression, il est abso-
lument essentiel de suivre attentivement les instructions du
fabricant afin de s'assurer que toute bactérie, y inclus les
spores de ‘Bacille du botulisme”, soit détruite pendant la
stérilisation
Si vous avez en main le livret d'instructions du fabricant sui-
vez-le bien. Les étapes suivantes faciliteront la compréhen-
sion de la méthode
1 Verser assez d'eau chaude dans le cuiseur pour atteindre
la moitié des bocaux
2 Placer les bocaux ou boîtes sur le support dans le cuiseur à
un poucg de distance, Les boîtes peuvent être empilées,
avec une claie entre les rangées, si elles sont disposées
de façon à permettre une bonne circulation de vapeur tout
autour, par-dessus et en-dessous chacune,
3 Ajuster le couvercle du cuiseur et bien le fermer. Commen-
cer à chauffer, Ouvrir l'évent et le laisser ouvert jusqu'à ce
que la vapeur s'échappe avec un sifflement bien distinct.
Cela prend 5 à 10 minutes. Laisser la vapeur s'échapper
ANR > CD ANA CHR }@RRD< CRD CRD CRD >CERD
| CAHIER MANITOBAIN
ER 0 AREA CMD SUN € LP CAO € > AE CD-AHDe € UMR +
pendant 10 autres minutes afin d'expulser le surplus d'air.
Si l'excès d'air demeure dans le cuiseur, la température
élevée, nécessaire à une stérilisation efficace, ne peut être
atteinte même si la pression correcte est maintenue, Pla-
cer le régulateur de pression sur le tuyau d'évent ou fermer
le robinet,
4 Continuer à chauffer et laisser la pression s'élever lente-
ment, Lorsque le régulateur de pression enregistre la pres-
sion requise, commencer à compter le temps de stérilisa-
tion, Régler la chaleur pour conserver une pression unifor-
me car si la pression varie il sortira du liquide des
récipients, S'assurer que la pression est aussi élevée que
nécessaire et que le temps précis de stérilisation est res-
pecté.
5 La stérilisation terminée, enlever le cuiseur du feu et le pla-
cer sur une planche où un treillis, Laisser tomber la pres-
sion d'elle-même graduellement à zéro (ceci peut prendre
de 2 à 1 heure); un refroidissement spontané peut causer
une fuite de liquide des récipients. Lorsque le régulateur
indique zéro, laisser reposer 1 à 2 minutes, ensuite ouvrir
lentement l'évent. Laisser refroidir pendant 2 à 3 minutes
avant d'enlever le couvercle
Enlever le couvercle de façon à ce que la vapeur ne soit pas
dirigée directement sur le visage. Couvrir immédiatement le
Cuiseur ouvert avec un linge à vaisselle et laisser reposer 1 à
2 minutes, Découvrir mais laisser les bocaux dans le cuiseur
jusqu à ce que le contenu cesse de bouillir. Sortir et refroidir
les bocaux-tel qu'indiqué ci-dessous
Avec les boîte )n peut ouvrir l'évent du cuiseur dès que
l'indicateur enregistre zér Enlever les boîtes immédiate
ment et refroidir tel qu indiqué
ALTITUDE
l'on fait
Lorsaut
ter la pre:
usage qd Un CUISOUT SOUS Pression, augmen
Sion d'une livre pour chaque 2,000 pieds au-dessus
du niveau de la mer
l'on fait usage d'un bain d'eau bouillante, ajuster la
durée de Stérilisation car la durée indiquée ici est d'après les
altitudes de moins de 2,000 pieds. À ?,000 pieds, l'augmenter
d'un cinquième et, pour chaque 1,000 pieds de plus, d'un
autre cinquième. Ainsi, si la durée de stérilisation indiqué
est de 20 minutes, à 2,000 pieds l'augmenter de 4 minutes
donc à 24 minutes; à 3,000 pieds l'augmenter de 8 minutes,
donc à 28 minutes
Lorsque
6 SCELLER ET REFROIDIR
BOCAUX DE VERRE
Poser les bocaux debout et bien espacés sur une claie, un
linge sec replié, une planche ou des journaux. Eviter des
surfaces froides et des courants d'air, car ils pourraient écla-
ter; ne pas couvrir les bocaux avec un linge car cela retarde-
rait le refroidissement. Ne pas serrer le cercle sur les bocaux
à couvercles de métal puisque l'herméticité se fait à mesure
que le bocal refroidit et tout resserrement pourrait détruire
le scellage. Dès que le bouillonnement a cessé dans les bo-
caux, compléter le scellage des bocaux à cercle vissé avec
couvercle de verre en serrant le cercle de métal (sans
toutefois étirer la bande de caoutchouc au point de la défor-
mer); quant aux bocaux à pinces, rabattre en position la
pince la plus courte.
Ne jamais ouvrir un bocal après la stérilisation. Parfois le
contenu d'un bocal se tasse ou il y a perte de liquide pendant
la stérilisation et un espace se forme au sommet, mais cet
espace ne nuira pas à la qualité du produit. Ouvrir le bocal
(Suite, page 6)
NOMINATIONS
On
Banque Canadienne Nationale
M. Yvon Beaupré Me Yvan Desjardins
La Banque Canadienne Nationale est heureuse d'annoncer
les nominations suivantes: M. Yvon Beaupré, directeur
général adjoint et directeur de la succursale principale du
500, Place d'Armes à Montréal; Me Yvan Desjardins, direc-
M. Claude Dieumegarde Me Pierre Genêt
teur général adjoint et secrétaire général; M. Claude
Dieumegarde, directeur général adjoint, responsable de la
Section du placement; Me Pierre Genêt, directeur général
adjoint, responsable de la Section internationale.
Les chefs-d'oeuvre de l'Ermitage à la Galerie d'Art,
Dans la livraison de la semaine dernière de LA LIBER-
TÉ (page 7), la légende qui accompagnait la photo in-
titulée ‘Le joueur de luth” indiquait que les 42 tableaux
exposés valaient entre trente et trente-cinq mille dollars
Il eut fallu indiquer “entre trente et trente-cinq MIL-
LIONS”, ce qui n’est pas la même chose, Nous repar-
lerons de cette fameuse collection de l'Ermitage et du
Musée de l'Etat russe, de Leningrad qui embrasse qua-
tre cents ans d'art en Europe occidentale, L'exposition
à la Galerie d'Art se poursuit jusqu'au 26 septembre.
LEE,
Les Canadiens de l'Ouest peu favorables aux deux lan-
gues officielles. — Une enquête du professeur Réginald
Bibby de l’université Lethbridge en Alberta démontre
que les deux langues officielles du Canada sont loin de
rallier la majorité des citoyens du pays.
Dans les provinces des prairies, seulement 26 p.c. des
répondants sont favorables aux deux langues officiel-
les. En Ontario, le pourcentage atteint 46 p.c. et c'est
seulement au Québec qu'on retrouve une majorité en
faveur du bilinguisme institutionnel au Canada.
Menée de mai à novembre 1975 auprès de 2,000 Cana-
diens des 30 villes du pays, l'enquête du professeur
Bibby, alors en poste à l'université York, a été com-
manditée par l'Eglise Unie du Canada, le réseau anglais
de Radio-Canada et le solliciteur général du Canada.
L'analyse sociologique du docteur Bibby révèle un ni-
veau élevé, et potentiellement explosif, de tension ra-
ciale et culturelle chez les Canadiens de diverses ethnies.
Ce sont surtout les tensions entre francophones et an-
glophones l'anti-sémitisme et la discrimination à l’en-
droit des Amérindiens qui ont frappé le professeur
albertain,
++ x
Environ 19 p.c. des répondants estiment que les Amé-
ridiens sont moins intelligents que les blancs, Le pour-
centage atteint 24 p.c, en Colombie-Britannique et n’est
que de 11 p.c. au Québec,
Près de 40 p.c. des Canadiens sont, par ailleurs, oppo-
sés aux mariages entre blancs et noirs, entre blancs et
orientaux, entre blancs et Indiens de l’est, Environ 25
p.c. sont également opposés aux mariages entre blancs
et Amérindiens du Canada, (Renseignements fournis
par la Presse Canadienne),
CRE RE |
La lutte contre l'inflation, — Les prix des biens et des
services continuent d'augmenter, À compter du ler
septembre, le timbre de huit sous présentement néces-
saire à l’affranchissement d’une lettre ne suffira plus...
Il faudra maintenant DIX sous, Et on dit qu'au pre-
mier mars, il en coûtera DOUZE sous pour adresser
une lettre par la poste. Il y a le prix de l'essence qui va
Le augmenter le 30 août, d’au moins TROIS SOUS
ET DEMI
*+*
La vie sur la planète Mars. — Les savants américains,
qui étudient les résultats des travaux de leur robot
Viking présentement sur la planète Mars, un jour di-
sent déceler des signes de vie sur Mars, un jour ne pas
déceler de tels signes. Ils ajoutent que si la vie existe
sur Mars, ce serait de façon extrêmement embryonnai-
re. On peut se demander, dans tel cas, s’il s'agirait du
commencement d’un monde, ou de sa FIN. . Et cela
pourrait faire songer. . ,
Immigration francophone, — Le gouvernement du Qué-
bec, par son ministère de l'Immigration et en collabo-
ration avec le ministère fédéral, a pris des mesures pour
recevoir sur son territoire des immigrants du Liban,
pays en ce moment dévasté par la guerre civile, et où le
français est à l'honneur.
Le Parti Québécois mobilise, — Il est rumeur d'élec-
tions pour bientôt au Québec, et les dirigeants du Parti
Québécois, qui forme présentement l'opposition offi-
cielle à l’Assemblée Nationale, se prépare activement
aux élections générales qui auraient lieu le 28 septem-
bre, Aux dernières élections, le Parti Québécois obtint
30 pour cent du vote populaire, Les sondages récents
lui accordent maintenant 34 pour cent.
K K *#
Le bigot, — Dans une chronique récente, le raciste Vic
Grant s'est permis, sur le sujet de la langue des com-
munications air-sol, des mots désobligeants à l'égard
de la langue des Canadiens Français, en tentant une
comparaison avec le français de France. L’unilingue
chroniqueur devrait commencer par soigner son anglais
à lui, qui, selon l'expression britannique, est loin de
“l'anglais de la Reine”...
4
mms LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976 / 5
2 > —
pour combler le vide aurait pour conséquence d'exposer le
contenu aux organismes nuisibles
Laisser les bocaux debout pendant lé refroidissement; les
renverser serait détruire l'herméticité, Ne pas serrer ou enle-
ver les cercles après refroidissement d'un bocal à cercle
vissé, car la fermeture pourrait se rompre,
Après le refroidissement tapoter doucement le couvercle en
métal des bocaux à l'aide d'une cuillère; si le métal rend un
son clair et si le couvercle est quelque peu concave, les
bocaux sont bien scellés, Vérifier l'herméticité des bocaux
à cercle vissé en renversant chaque bocal pendant une
minute où duex; s'il n'y a pas de fuite, ils sont bien scellés.
Si le scellage n'est pas hermétique, réfrigérer et utiliser le
contenu avant qu'il ne s'avarie, Stériliser à nouveau n'est pas
à conseiller car le produit serait trop cuit.
BOÎTES
Placer les boftes dans l'eau froide immédiatement, Mainte-
nir l'eau froide en la changeant ou en plaçant les boîtes sous
l'eau courante, Les retourner délicatement afin que le centre
ait la chance de refroidir, Laisser les boîtes dans l'eau jus-
qu'à refroidissement comolet
Du côté de la cuisine (suite)
1 ÉTIQUETER ET ENTREPOSER
Essuyer les contenants à l'aide d'un linge humide, les assé.
cher parfaitement et les étiqueter au moyen d'une plume
feutre, Entreposer dans un endroit frais, sombre et sec mais
ne pas congeler, SI l'endroit n'est pas sombre, envelopper
les bocaux avec du papier journal où les placer dans des bof
tes car la lumière peut altérer la couleur du produit,
Après une semaine examiner chaque contenant, Si les boftes
coulent ou sont bombées, c'est un signe de détérioration,
Ne pas utiliser ces contenants, Les jeter hors de la portée des
enfants du des animaux.
La congélation peut changer l'apparence et la texture des
conserves de fruits et de légumes. Toutefois, les conserves
gelées, une fois décongelées dans les contenant, peuvent
être consommées sans danger tant qu'il n'y a pas de signe
de fuite ou de décomposition
Si les boîtes contenant des fruits et des légumes sont pla-
cées dans un endroit humide, l'extérieur des boftes peut
rouiller, | n'y a aucun danger, cependant, à utiliser le produit
des boîtes rouillées pourvu qu'il n'ait pas de signe de fuite,
Vous participez au
Programme des Initiatives Locales
et vous nous faites
parvenir votre projet avant
Ca tombe PL.L.!
Vous avez de l'initiative et vous présentez un projet au
Programme des Initiatives Locales? Eh bien! Si votre
projet est accepté, vous allez contribuer à combattre le
chômage cet hiver:
—en embauchant des gens sans emploi inscrits à un
Centre de Main-d'oeuvre du Canada
—en mettant votre projet sur pied entre le ter novembre
1976 et le 31 décembre 1977
hw Main-d'oeuvre
et Immigration
Robert Andras
Ministre
—en bénéficiant d'une contributipn fédérale pouvant
aller jusqu'à $100,000.
Il fauk que votre idée de projet soit innovatrice (ne pas
être la duplication d'un produit ou d'un service existant)
et utile et qu'elle ait pour but de contribuer au mieux-
être de votre quartier où de vatre localité.
Faites vite! Votre formulaire doit nous parvenir au plus
tard le 10 septembre 1976. Ne tardez pas.
Manpower
and Immigration
Robert Andras
Minister
Procurez-vous un formulaire de demande dès maintenant au Centre de Main-d'oeuvre du Canada de votre région.
(Saint-Boniface, 283, rue Taché, téléphone: 985-2517)
Collège
Universitaire
233-0210
6 / LA LIBERTÉ, jeudi 26 août 1976
INSCRIPTIONS a)
pour l'année académique },
1976-1977:
et en ÉDUCATION:
au SECRÉTARIAT BILINGUE :
aux ARTS et SCIENCES Nouveaux: Lundi, 13 septembre, de 10h00 à 19h00
Anciens :
À LA BIBLIOTHÈQUE
Un service de bibliothèque en français est maintenant dis-
ponible à tous les franco-manitobains, Cette accessibilité a
été rendue possible grâce à une initiative de la Bibliothèque
d'extension du Service aux Bibliothèques publiques qui relè-
ve du Ministère du Tourisme et des Affaires culturelles, Cette
bibliothèque ne possède qu'une petite collection de livres
français mais est en mesure de répondre à un grand nombre
de demandes puisqu'elle a accès aux ressources de la Biblio-
thèque Publique de Saint-Boniface, De fait la Bibliothèque
d'extension en prévision de l'extension de ses services aux
Franco-manitobains avait fait microfilmé au mois d'avril le
cataloQgu8e de la Bibliothèque Publique de Saint-Boniface.
On sait que celle-ci possède la collection la plus considéra-
ble de llvres français dans le secteur public au Manitoba,
Evidemment le nouveau service ne s'adresse pas aux lec-
teurs de Winnipeg mais à ceux qui habitent en dehors de cet-
te agglomération urbaine, Les lecteurs qui habitent un centre
où 8e trouve une bibliothèque doivent acheminer leurs re-
quêtes à cette bibliothèque qui se chargera de la transmettre
à la Bibliothèque d'extension, Les autres doivent envoyer
leurs demandes directement à la Bibliothèque d'extension
dont l'adresse est comme suit:
EXTENSION LIBRARY
PUBLIC LIBRARY SERVICES
UNIVERSITY OF MANITOBA
WINNIPEG, MANITOBA
R3T 2N2
On peut s'adresser en français à cette bibliothèque puis-
que le directeur, M. Douglas Steinburg, a une excellente con-
naissance de la langue française.
Les franco-manitobains ne pourront que se réjouir de cette
réalisation, Jusqu'ici on ne pouvait que déplorer l'absence
de service dans tous les centres francophones sauf pour
Saint-Boniface et Saint-Pierre, Mais grâce à une heureuse
initiative du Ministère du Tourisme et des Affaires culturel-
les et à la collaboration de M, Steinburg une première étape
vient d'être franchie, O
Lettre adressée au gouvernement par un Indien vivant dans une
réserve: “Faites bien attention à vos lois d'immigration, Nous n'a-
vOns pas pris assez de précautions avec les nôtres."
On fait
toujours
bonne chere
a
Fi ù
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chlore, les produits chi-
miques, les détergents,
les particules en suspen-
sion et les impuretés
organiques tout en préve-
nant la croissance des
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Jeudi, 2 septembre, de 9h00 à 16h00 |
Mardi, 14 septembre, de 10h00 à 19h00
2
EXPRESSIONS COURANTES
Fautes communes et infamantes à bannir une fois pour toutes
Parler à travers son chapeau
{To talk through one's hat]
Parlant de... [Speaking of...]
Parlant de musique, avez-vous assisté
au concert d'hier?
* Particulier [Particular]
Il est particulier
Ilest particulier pour la nourriture
Fiez-vous à lui, il est très particulier
Ilest trop particulier pour ce genre de
travail
NB. On trouve aussi vétilleur et vétillard
Parler à tort et à travers/Parler pour ne rien
dire/Extravaguer/Parler sans savoir/Débiter
des sottises,
A propos de
A PROPOS DE musique, avez
té au concert d'hier
vous 45515
Minutieux, soigneux, pointilleux, vétilleux
iLest MINUTIEUX, SOIGNEUX, POINTI
LEUX, VETILLEUX
l'est DIFFICILE pour la nourriture
Liez-vous à lui. il est très SOIGNEUX
ILest trop METICULEUX/MINUTIEUX
VETILLEUX pour ce genre de travail
Ce dernier terme (vétillard) est plus péjoratit
que vétilleux (habituellement enclin à la vétillerie) et vétilleur (en telle ou telle occa
sion)
* Pareil
Je l'aime bien pareil, Viens pareil
C'est pareil pour moi
N.B.- Il convient aussi d'éviter le pléonasme
Quand même À
le l'aime bien QL AND MEME
QUAND MIMI
C'est LA MÊME CHOSE pour moi /
ÇA M'EST ÉGAI
Viens
» populaire pareil comme; on ne dit pas: Il est
pareil comme son frère mais Il est comme son frère, il est pareil à son frère, il ressem-
ble à son frère,
En autant que [Inasmuch as]
En autant que je sache
Il travaille en autant qu'on l'encourage
Prendre une marche [To take a walk]
Etre en charge [To be in charge]
C'est lui qui est en charge
Ilest en charge de la comptabilité
Il est en charge de la surveillance
Technicalités [Technicalities]
Se perdre dans les technicalités
Ce sont de pures technicalités
Ces technicalités relèvent des spécialistes
Les payeurs de taxes [Taxpayers]
Pamphlet publicitaire
NB. - En français, le mot pamphlet désigne
gé contre la religion, la politique, etc
Autant que, pour autant que, etc.
AUTANT QUE/POUR AUTANT QUE je
ache
Il travaille DANS LA MES RE OÙ on
l'encouragsé
Faire une promenade
Etre de service, de semaine; être préposé à,
avoir la charge de
C'est lui qui est DE SERVICI
Il est PRÉPOSÉ à la comptabilité
IL A LA CHARGE de la surveillance
Détails techniques, procédure, subtilités,
points de détail, questions de forme, etc.
Se perdre dans des SUBTILITÉS
- Ce sont de pures QUESTIONS DE FORME
Ces DÉTAILS TECHNIQUES relèvent des
spécialistes
Les contribuables
Brochure publicitaire
un écrit satirique et violent, le plus souvent diri
(Petit Larousse). Gardons-nous donc d'em
loyer pamphlet au sens de brochure, opuscule, dépliant, prospectus, tract, etc,
F F
Charger à [To charge to]
Chargez cela à mon compte
- Chargez cela à M. X
N.B. - Familièrement: Mettez cela sur mon
To choose [for a] leader
- On l'a choisi chef
Etre requis de [To be requested'to]
- Vous êtes requis de venir
- Vous êtes requis de ne pas fumer
Porter à
PORTEZ cela à mon compte
DÉBITEZ cela à M. X; PORTEZ cela Al
COMPTE DE M. X
compte
Choisir comme chef
On l'a CHOISI COMME chef
Être invité à, prié de...
Vous êtes INVITE À on vous PRIE DE venir
PRIÈRE DE ne pas fumer
N.B, - Inviter se construit avec à et non pas :
Marier sa fiancée
Epouser sa fiancée
N.B.- Marier une personne, c'est la donner en mariage: un père marie sa fille à un bon parti
Epouser une personne où se marier avec cette personne, c'est contracter mariage avec
elle
Enjoindre, notifier quelqu'un
Je l'ai enjoint de partir
- On l’a notifié de son renvoi
Enjoindre à, notifier à quelqu'un
le LUI ai enjoint de partir
On LUI a notitié son renvor
(Service linguistique de RADIO-CANADA)
ADD à ATEN € VAE ) GER à AURONT € » HAT CHA D à à ARR
*
Cahier manitobain
QUI SÈME LE VENT
RÉCOLTE LA
TEMPÊTE
(Vieux proverbe)
-
RTE SE UN US
Orf
Collège
Universitaire
de
Saint
Boniface
233-0210
L'Office de rédaction française
Rédaction, revision de textes, préparation de textes publicitaires,
version de l'anglais au français. Sous le signe de l'élégance
3405 - 55 nord, rue Nassau, Winnipeg (Manitoba). Téléphone 247 5522
LITTÉRATURE CANADIENNE-FRANÇAISE
(Acadie, Québec, Ontario, Manitoba)
Professeur: Annette Saint-Pierre
FEU
[spectacles et arts
Les visiteurs de septembre des parcs nationaux du Canada jouissent encore de
l'enchantement de la nature rehaussée par la sérénité de la fin de l'été et du début
de l'automne, (PHOTO: Parcs Canada]
Le joueur de luth - le Caravage
environ 1596 - Collection du musée de
l'Ermitage [Leningrad]
LES MUSÉES NATIONAUX DU CANADA
en collaboration avec un de leurs musées associés,
la Galerie d'Art de Winnipeg,
sont heureux de présenter
pour la première fois au Canada
LES CHEFS-D'OEUVRE DE LA PEINTURE DE L'ERMITAGE
ET DU MUSÉE DE L'ÉTAT RUSSE, DE LENINGRAD
qui comprennent des oeuvres de Picasso, Matisse, Gauguin,
Cézanne, Rembrandt, Rubens, Vélasquez, et le Titien
à la GALERIE D'ART DE WINNIPEG
du 13 août au 26 septembre
du lundi au mercredi - de 10h00 à 17h00
du jeudi au samedi - de 10h00 à 21h00
le dimanche - de midi à 21h00
Galerie d'Art de Winnipeg - téléphone : 786-6641
— Folklore, légende, chanson
(Lundi et mercredi 16 h 30 à 18h.)
— Roman moderne et contemporain: Lundi - Mercr. - Vendredi
10h30 - 9h30 - 8h30
— Théâtre canadien (les mardis de 19h à 22h.)
é
LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976 / 7
=
EE
Ottawa, le 18 août 1976
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunica-
tions canadiennes annonce les décisions suivantes.
Décision CRTC 76-539
WINNIPEG (MANITOBA)
-751271800
Moffat Communications Limited
Demande présentée en vue de renouveler la licence de
radiodiffusion de CKY-FM Winnipeg (Manitoba) qui expire
le 30 septembre 1976,
Décision: APPROUVE
Le Conseil renouvelle cette licence du ter octobre 1976 au
31 mars 1979 aux conditiohs qui y seront spécifiées, y
compris les conditions relatives à la programmation indi-
quées à la page 22 de la politique MF du 20 janvier 1975,
Le Conseil est d'avis qu'une programmation premier plan
ou mosaïque de haute qualité requiert habituellement un
nombre assez élevé de créations orales, Dans sa
demande, le titulaire a proposé très peu de créations ora-
les des catégories 2, 3A, 4 et 5, Lors du prochain renou-
vellement de licence, le Conseil s'attend à ce que le titulai-
re démontre qu'il a diffusé une programmation mosaique
et premier plan de haute qualité malgré le nombre restreint
de créations orales, ou bien qu'une augmentation signifi-
cative de ces émissions lui a permis d'atteindre ce niveau
d'excellence.
Le Conseil s'attend à ce que le titulaire rende disponible
au moins trente minutes du temps d'antenne hebdoma-
daire, sans messages publicitaires, aux membres de la
communauté, qu'il annonce clairement que cette période
de diffusion est disponible et qu'il encourage la commu-
nauté à l'utiliser,
La présente licence est sujette à la condition que, durant
la période de diffusion de 6h à minuit, le titulaire consa-
cre chaque semaine un certain temps aux oeuvres musi-
cales canadiennes d'après l'article 12 du Règlement sur
la radiodiffusion (M.A.), soit au moins 15% de toutes les
oeuvres musicales de la catégorie 6 et 7% de toutes les
oeuvres musicales de la catégorie 7.
Le Conseil prend note de l'intention du titulaire d'em-
ployer un équipement automatique de programmation.
Dans La radio MF au Canada, le Conseil a affirmé que ‘les
requérants qui désirent faire usage d'un équipement auto-
matique doivent démontrer qu'ils accorderont la même
attention professionnelle à la présentation et à l'identifi-
cation des éléments de programmation que dans le cas
d'une diffusion en direct”. Lors du renouvellement de li-
cence le Conseil s'attendra à ce que le titulaire lui démon-
tre comment il a rencontré cet objectif.
Décision CRTC 76-540
WINNIPEG (MANITOBA)
-751296500
Radio O.B, Ltd.
Demande présentée en vue de renouveler la licence de
radiodiffusion de CHMM-FM Winnipeg (Manitoba) qui
expire le 30 septembre 1976.
Décision: APPROUVE
Le Conseil renouvelle cette licence du 1er octobre 1976 au
31 mars 1979 aux conditions qui y seront spécifiées, y
compri* les conditions relatives à la programmation indi-
quées & la page 22 de la politique MF du 20 janvier 1975.
Le titulaire pourra diffuser de façon simultanée seulement
durant les périodes autorisées selon l'article 12.2 du
Règlement sur la radio (MF), tél que modifié.
Le Conseil s'attend à ce que le titulaire rende disponible
au moins trente minutes du temps d'antenne hebdoma-
daire, sans messages publicitaires, aux membres de la
communauté, qu'il annonce clairement que cette période
de diffusion est disponible et qu'il encourage la commu-
nauté à l'utiliser.
La présente licence est sujette à la condition que, durant
la période de diffusion de 6h à minuit, le titulaire consa-
cre chaque semaine un certain temps aux oeuvres musi-
cales canadiennes d'après l'article 12 du Règlement sur
la radiodiffusion (M.A.), soit au moins 30% de toutes les
oeuvres musicales de la catégorie 6 et 7% de toutes les
oeuvres musicales de la catégorie 7.
Le Conseil remarque que le titulaire n'a réservé aucune
sornme précise pour le traitement de musiciens cana-
diens, dont il utilisera les talents pour fin de diffusion. Le
Conseil s'attend à ce que le titulaire emploie, quand c'est
possible, des musiciens locaux et autres talents créateurs
pour produire du matériel de programmation et pour aider
les talents créateurs canadiens en s'abonnant aux émis-
sions souscrites canadiennes.
Le Conseil prend note de l'intention du titulaire d'employ-
er un équipement automatique de programmation. Dans
La radio MF au Canaga, le Conseil a affirmé que “les re-
quérants qui désirent faire usage d'un équipement auto-
matique doivent démontrer qu'iis accorderont la même at-
tention professionnelle à la présentation et à l'identifica-
tion des éléments de programmation que dans le cas
d'une diffusion en direct”. Lors du renouvellement de li-
cence le Conseil s'attendra à ce que le titulaire lui démon-
tre comment il a rencontré cet objectif.
DECISION
Décision CRTC 76-541
WINNIPEG (MANITOBA)
-751270000
CHUM (Manitoba) Limited
Demande présentée en vue de modifier la licence de radio-
diffusion de CHIQ-FM Winnipeg (Manitoba) afin de modi-
fier la programmation,
Décision: APPROUVE
Le Conseil est d'avis qu'une programmation premier plan
ou mosaïque de haute qualité requiert habituellement un
nombre assez élevé de créations orales, Dans sa deman-
de, le titulaire a proposé relativement peu de créations
orales des catégories 2, 8A, 4 et 5, Lors du prochain
renouvellement de licence, le Conseil s'attend à ce que le
titulaire démontre qu'il a diffusé une programmation mo-
saïque et premier plan de haute qualité malgré le nombre
restreint de créations orales, ou bien qu'une augmenta-
tion significative de ces émissions lui a permis d'attein-
dre ce niveau d'excellence.
Le Conseil se préoccupe de ce que la musique proposée
par le titulaire puisse rappeler la musique offerte par des
stations MA, qui utilisent les formules contemporaine où
“Top 40", || rappelle au titulaire que la musique diffusée
par la station MF doit être largement différente de la musi-
que diffusée par les stations radio MA des genres con-
temporain ou ‘Top 40", Lors du renouvellement de
licence, le Conseil examinera la programmation musicale
du titulaire afin de déterminer si sa politique musicale est
acceptable,
Dans son énoncé de politique sur la radio MF, le Conseil a
noté la préoccupation maintes fois exprimée que le choix
des émissions musicales est peu varié et que les mêmes
pièces musicales sont souvent reprises:"... seule une
fraction des enregistrements disponibles est radiodiffusée
Lorsqu'on pense à la variété du matériel disponible dans
les librairies, les magasins de disques, les étalages de
revues, les pages de loisirs et de divertissement des jour-
naux, il faut bien reconnaître que la radio est un véhicule
pauvre d'expression. La radio doit développer sa
production avec des éléments nouveaux et permettre au
public de découvrir et d'apprécier un choix plus diversifié
de pièces musicales et de textes parlés.
La diversité est un facteur critique pour déterminer la ri-
chesse de la culture d'une société. Dans le domaine de la
radio, l'importance d'une discothèque et les diverses fa:
çons dont on utilise les enregistrements selon un certain
nombre de formules, sont deux des aspects les plus
importants de la fonction culturelle de ce medium."
Le Conseil est d'avis que la façon de répondre du titulaire
au défi qui lui est proposé par l'exposé de politique sur
la radio MF n'est pas adéquate. || espère que le titulaire
apportera des modifications à sés émissions musicales
au cours de la durée de la licence et qu'il réduira considé-
rablement la fréquence de reprise des mêmes pièces
musicales,
La contribution d'une station progressive au choix des
auditeurs est fonction de son'désir d'explorer les avenues
nouvelles où inhabituelles de l'expression artistique aussi
bien que les domaines négligés et ceux qui ont été ou-
bliés. Le Conseil désire préciser que le fait d'utiliser trop
fréquemment les succès populaires ne serait pas confor-
me à la politique sur la radio MF.
La présente licence est sujette à la cond&ion que, durant
la période de diffusion de 8h à minuit, le titulaire consa-
cre chaque semaine un certain temps aux oeuvres musica-
les canadiennes d'après l'article 12 du Règlement sur la
radiodiffusion (M.A.), soit au moins 20% de toutes les
oeuvres musicales de la catégorie 6 et 7% de toutes les
oeuvres musicäles de la catégorie 7.
Le Conseil remarque que le titulaire n'a réservé aucune
somme précise pour le traitement de musiciens cana-
diens, dont il utilisera les talents pour. fin de diffusion.
Le Conséil s'attend à ce que le titulaire emploie, quand
c'est possible, des musiciens locaux et autres talents cré-
ateurs pour produire du matériel de programmation et
pour aider les talents créateurs canadiens en s'abonnant
aux émissions souscrites canadiennes.
Décision CRTC 76-542
WINNIPEG (MANITOBA)
-751621400
CHUM (Manitoba) Limited
Demande présentée en vue de modifier la licence de radio-
diffusion de CHIQ-FM Winnipeg (Manitoba) comme suit:
Données techniques:
Actuel Projeté
Fréquence: 94,3 MHz 94,3 MHz
Puissance: 6,500 watts de 100,000 watts de
jour et de nuit jour et de nuit
- changer l'emplacement de l'antenne
Décision: APPROUVE
Le Conseil considère que l'augmentation de puissance
proposée améliorera et étendra le rayonnement de la sta-
tion dans la région de Winnipeg.
Guy Lefebvre
Secrétaire général
et des télécommunications and Telecommunications
k ji Conseil de la radiodiffusion Canadian Radio-television
canadiennes
Commission
8 / LA LIBERTÉ, jeudi 26 août 1976 emmener
VOTRE HOROSCOPE
Œapuicoue) du 22 déc, au 20 janv,
Craignez une petite blessure d'amour-propre où une
querelle avec un ami, Vous serez porté à adresser des repro
le qui ne seront pas justifiés, On vous témoignera de l'af:
ection,
Veuscau du 21 janv. au 19 fév.
Un ami vous fera part de ses préoccupations, écoutez-le
avec intérêt et faites passer à l'arrière plan votre égoisme,
Sur le plan sentimental, un climat de confiance régnera et
l'amour vous sourira, Indécision injustifiée,
Porn du 20 fév. au 20 mars
Ne blessez pas la personne qui vous aime par une criti-
que injustifiée, Ayez foi en vous-même et vous pourrez réa-
liser davantage de choses pour le bonheur de l'être cher, Ne
prêtez pas oreille aux illusions perfides,
ph du 21 mars au 20 avril
AT
Votre sensibilité sera en accord avec celle de la person-
ne aimée, Vous partagerez ensemble confidences, projets et
espoirs, Votre situation sentimentale évoluera lentement
mais sûrement et vous connaitrez un bonheur durable.
Jauuau du 21 avril au 20 mai
Les amours et les amitiés seront favorisés. En amour,
vous serez ardent et vous risquez de vous montrer un peu
trop exclusif, Ceux dont le coeur est libre pourraient bien
trouver l'âme soeur au cours d'une réunion amicale,
Gemuaux
Il faudra vous efforcer de ne pas manifester d’entorse
à la vérité dans vos discussions, La personne qui vous aime
sera compréhensive et vous pardonnera facilement vos tra
vers,
JL
du 21 mai au 21 juin
du 22 juin au 22 juillet
Cancer
Beaucoup de jalousie mais aussi du rêve, de l'amour, de
la chaleur qui se développent et vous inspirent. Certains
évènements s'avéreront excellents sur le plan du coeur. Au-
cune surprise désagréable en vue,
2 Lon du 23 juillet au 23 août
Les astres vous seront favorables mais vous ne goûterez
réellement au bonheur que si vous refrénez votre sensibilité
et si vous ne cherchez pas à cacher vos émotions sous des
dehors bourrus ou simplement réticents.
CC Vruge du 24 août au 22 sept.
Il semble que vous vous libérerez de vos complexes et
que vous vivrez plus intensément, plus complètement. Vous
vous sentirez bien et vous aurez tendance à en faire trop pour
la personne qui vous aime,
(Balance ) du 23 sept. au 23 oct.
Vous aurez la possibilité de modifier le cadre de votre
vie sentimentale et votre intuition sera excellente, Vous
récolterez le fruit de vos efforts passés. Vous rencontrerez
plusieurs nouvelles connaissances sympathiques.
( s COupion ) pron du 24 oct. au 22 nov. :
Vie sentimentale assez harmonieuse, un peu trop d'égois-
me de votre part mais la personne qui vous aime vous teou-
vera tellement charmant et optimiste, N'exigez pas trop
d'autrui toutefois,
(Saitlauc
Un chagrin passager vous guette mais le soir méme vous
semblez faire une rencontre qui soulèvera votre enthousias
me, Ayez confiance en l'avenir, des cvénements heureux ct
qui vous sont favorables se préparent, S.0 P
il.
du 23 nov. au 21 déc.
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AVIS
LE SERVICE DES PARCS ET DE LA RÉCRÉATIO
DE LA COMMUNAUTÉ DE SAINT-BONIFACE
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Toutes les piscines en plein air de même que les patau-
geuses fermeront pour la saison 1976 dès après mardi
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DECISION
Ottawa, le 18 août 1976
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications
canadiennes annonce les décisions suivantes qui en-
trent en vigueur Immédiatement,
Décision CRTC 76-544
WINNIPEG (MANITOBA)
-750984700
-751224700
-751223900
Winnipeg Videon Limited
Demandes présentées en vue de renouveler la licence de
radiodiffusion de l'entreprise de télévision par câble des-
servant un secteur de Winnipeg (Manitoba) qui expire le
30 septembre 1976 et en vue de modifier la licence com-
me suit:
Service aux canaux 2 et 13
- ajouter la distribution d'émissions d'origine
(météo);
- ajouter la réception et la distribution de KGFE-TV canal
2 Grand Forks (North Dakota) au canal 3,
Décision: APPROUVE
Le Conseil renouvelle cette licence du 1er octobre 1976 au
31 mars 1978 aux conditions qui y seront spécifiées. Cette
période permettra au Conseil d'étudier le renouvellement
de cette licence en même temps que celui d'autres licen-
ces de télévision par câble de la région,
locale
La licence est aussi sujette à la condition que, au cas où
les contrats existants entre le titulaire et The Manitoba
Telephone System (*MTS") seraient modifiés, renouvelés,
prolongés ou remplacés, le titulaire serait le propriétaire,
au minimum, des têtes de ligne locales, des amplifica-
teurs et des prises menant aux maisons et aux immeubles
d'habitation, Dorénavant, tout contrat qui sera passé entre
le titulaire et le MTS est sujet à l'approbation du Conseil.
Le Conseil a promu une politique d'accès public au canal
communautaire et note l'enthousiasme de la communauté
envers le Canal communautaire du titulaire, Néanmoins,
le Conseil rappelle au titulaire qu'il est responsable du
contenu de toute la programmation qui est diffusée sans
égard aux personnes qui la produisent. Par conséquent, le
titulaire doit s'assurer que ceux qui collaborent aux émis-
sions du canal communautaire respectent toutes les poli-
tiques et règlements émis par le Conseil.
Le titulaire est également responsable, tel que discuté
dans l'Enoncé de politique sur la télévision par câble du 16
décembre 1975, non seulement de permettre à la com-
munauté de produire des émissions communautaires qui
complètent les émissions des radiodiffuseurs locaux mais
encore de créer lui-même des émissions qui viendront
compléter celles produites par la communauté, par exem-
ple des reportages en direct des assemblées du conseil
de ville local et des commissions scolaires, des événe-
ments du sport amateur etc...
Le Conseil a noté les interventions et les engagements
du titulaire lors de l'audience publique et s'attend à ce que
le titulaire prenne immédiatement des mesures afin de
fournir l'équipement nécessaire à la programmation en
direct, pour devenir mobile et techniquement compatible
avec le système adjacent. Cette compatibilité technique
facilitera, de temps à autres, la programmation à travers
la ville, Les possibilités de mobilité permettront au titu-
laire de répondre aux divers besoins et intérêts de chacu-
ne des communautés de son territoire.
Lors de l'audience, le titulaire a discuté des dépenses con-
sidérables occasionnées par la co-production d'émissions
avec CKY-TV, On se doit de louer ce projet car il permet
de canaliser les revenus du câble indirectement vers le
système de télévision en direct et directement vers les
artistes canadiens. Cependant, ces dépenses ne doivent
modifier ni les fonds ni les efforts qui sont alloués au
canal communautaire, De plus, le Conseil espère que les
bénéfices de ces dépenses profiteront à tous les radio-
diffuseurs locaux et pas seulement à celui qui est une
filiale du titulaire.
Conformément à la politique du Conseil sur la télévision
par câble, le titulaire doit cesser la distribution de signaux
radiophoniques à des canaux vidéo.
Suivant cette politique et les principes énoncés dans l'a-
vis public du Conseil du 19 juillet 1976, le Conseil
REFUSE la réception et la distribution de CKX-FM Bran-
don (Man.), KVBC-FM Grand Forks (N.D.,) et WDAY-FM
Fargo (N.D:)
Cette licence est sujette à la condition que le titulaire sup-
prime les messages commerciaux des émissions reçues
des stations de radiodiffusion qui ne sont pas autorisées à
desservir le Canada et qu'il leur substitue du matériel ap-
proprié, sur réception de l'avis écrit du Conseil.
Le Conseil reconnaît qu'il faudra au titulaire de licence
assez de temps pour coordonner ses efforts et élaborer
ses plans, en collaboration avec les titulaires de licences
de station de télévision de Winnipeg de manière à ce que
cette substitution puisse être exécutée efficacement, à
un prix raisonnable et sans désorganiser les services
actuellement disponibles aux abonnés. C'est pourquoi le
Conseil demande au titulaire de licence de présenter un
rapport avant le 31 octobre 1976 sur les progrès réalisés
dans la mise en oeuvre et sur le calendrier de cette substi-
tution.
Entreprise générale d'électricité
Fontaine & Compagnie
165, boulevard Provencher, Saint-Boniface
Téléphone : 233-7425
Décision CRTC 76-545
WINNIPEG (MANITOBA)
-750242000
Greater Winnipeg Cablevision Limited
Demande présentée en vue de renouveler la licence de
radiodiffusion de l'entreprise de télévision par câble des-
servant un secteur de Winnipeg (Manitoba) qui expire le
30 septembre 1976,
Décision: APPROUVE
Le Conseil renouvelle cette licence du ter octobre 1976 au
31 mars 1978, aux conditions qui y seront spécifiées. Cet-
te période permettra au Conseil d'étudier le renouvelle-
ment de cette licence en même temps que celui d'autres
licences de télévision par câble de la région,
La licence est aussi sujette à la condition que, au cas où
les contrats existants entre le titulaire et The Manitoba
Telephone System ("MTS") seraient modifiés, renouvelés,
prolongés où remplacés, le titulaire serait le propriétaire,
au minimum, des têtes de ligne locales, des amplifica-
teurs et des prises menant aux maisons et aux Immeubles
d'habitation, Dorénavant, tout contrat qui sera passé'entre
le titulaire et le MTS est sujet à l'approbation du Conseil.
Le Conseil a noté les engagements pris par le titulaire lors
de l'audience à l'effet qu'il augmenterait d'une façon si-
gnificative le budget d'exploitation consacré à la program-
mation communautaire ainsi que le personnel affecté à ce
service afin d'être en mesure de mieux répondre aux divers
besoins et intérêts de chacune des communautés de son
territoire, Le Conseil s'attend aussi à ce que le titulaire
prenne immédiatement des mesures afin de rendre son
système techniquement compatible avec le système adja-
cent, Cette compatibilité technique facilitera, de temps
à autres, la programmation à travers la ville.
Conformément à la politique du Conseil sur la télévision
par câble, le titulaire doit cesser la distribution de signaux
radiophoniques à des canaux vidéo.
Suivant cette politique et les principes énoncés dans l'a-
vis public du Conseil du 19 juillet 1976, le Conseil
REFUSE la réception et la distribution de WDAY-FM
Fargo (N.D.), KYTN-FM Grand Forks (N.D.) et CKX-FM
Brandon (Man) à la bande MF,
Cette licence est sujette à la condition que le titMfaire sup-
prime les messages commerciaux des émissions reçues
des stations de radiodiffusion qui ne sont pas autorisées
à desservir le Canada et qu'il leur substitue du matériel
approprié, sur réception de l'avis écrit du Conseil,
Le Conseil reconnaît qu'il faudra au titulaire de licence
assez de temps pour coordonner ses efforts et élaborer
ses plans, en collaboration avec les titulaires de licences
Au cours d'une évolution
que je ferais remonter à la
première guerre mondiale,
on a assisté à un transfert
progressif du système de
marché à celui de la con-
trainte comme mécanisme
privilégié de la prise de dé-
cision. L'économie de mar-
ché a produit des mutations
brutales d'ordre économique,
social, culturel et philoso-
phique. Elle a été à l'origine
d'une prospérité sans précé-:
dent dans l'histoire et elle a
su exploiter à fond les pro-
grès scientifiques et techni-
ques, mais ce faisant, elle
a détruit l’ensemble com-
plexe des valeurs qui lui ser-
vait d'assises et de soutien.
André Raynauld, président
Conseil économique du
Canada, devant l'Association
canadienne du Club de Rome
Ottawa, le 14 juin 1976.
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de station de télévision de Winnipeg de manière à ce que
cette substitution puisse être exécutée efficacement, à
un prix raisonnable et sans désorganiser les services
actuellement disponibles aux abonnés, C'est pourquoi le
Conseil demande au titulaire de licence de présenter un
rapport avant le 31 octobre 1976 sur les progrès réalisés
dans la mise en oeuvre et sur le calendrier de cette substi-
tution,
Décision CATC 76-546
WINNIPEG (MANITOBA)
-751659400
-751310400
-751049800
Greater Winnipeg Cablevision Limited
Demandes présentées en vue de modifier la licence de
radiodiffusion de télévision par câble qui couvre Winnipeg
(Manitoba) comme suit:
Tarifs (751659400)
Actuel Projeté
Frais d'installation 59,95 $15,00
Tarif mensuel $5.00 $ 6.00
Service aux canaux 2 à 13 (751310400 - 751049800)
- ajouter la distribution de messages météorologiques et
communautaires au canal 9;
ajouter la distribution de messages météorologiques et
communautaires au canal 13 lorsque la programmation
communautaire n'est pas distribuée,
- ajouter la réception et la distribution de KGFE-TV canal
2, Grand Forks (North Dakota) au canal 3.
APPROUVE EN PARTIE
Le Conseil APPROUVE une augmentation des frais d'ins-
tallation à $15.00 et du tarif mensuel d'abonnement à un
maximum de $5.50, Le Conseil est persuadé que les fac-
teurs d'inflation justifient des augmentations de cet ordre,
Décision:
Les modifications projetées à l'attribution de canaux sont
APPROUVEES.
Guy Lefebvre
Secrétaire général
Conseil de la radiodiffusion Canadian Radio-television
ä . des télécommunications and Telecommunications
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(
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C'est avec plaisir que le Bureau de direction vous
présente, membres et propriétaires de notre coopéra-
tive, ce rapport annuel portant sur les activités et résul-
tats de l’année se terminant le 31 janvier 1976.
Comme propriétaires de l'une des plus florissantes
entreprises de notre région, nous pouvons ressentir
une vive satisfaction car notre coopérative a connu une
très bonne année, tel que le révèle la croissance conti-
nue en ventes, en épargnes et en nouveaux membres.
MEMBRES
Cent quatre-vingt-dix-huit personnes ont fait l'achat
d'une première part l'an dernier pour ainsi devenir nou-
veaux membres de notre association. Par contre, le
décès et le déménagement hors de la région ont causé
un retrait de 125 membres. A la fin de l'année, le nom-
bre de membres se chiffrait à 977,
Nous sommes heureux de souhaiter la bienvenue
aux nouveaux membres. Vous vous êtes joints à quan-
tité de gens de notre région comme propriétaires d'une
entreprise coopérative, “une formule véritable d’entre-
prise libre”. Tous les membres participent aux bénéfi-
ces de la propriété. Les responsabilités vont cepen-
dant de pair avec ces bénétices, et elles consistent
surtout à faire vos achats chez votre coopérative et à
contribuer à l'administration. Votre Bureau de direction
et la gérance accueilleront avec plaisir toutes vos sug-
gestions et les questions que vous voudrez poser.
FAITS SAILLANTS DES OPÉRATIONS
Les ventes ont augmenté considérablement cette
année encore, soit par $613,391.00, pour atteindre un
total de $3,634,621.00 durant les 12 mois de l'exercice
financier.
Les épargnes de l’année se chiffrèrent à $234,643.00,
soit 6.5% des ventes. Si l’on tient en considération
que le dividende des Coopératives Fédérées n'était que
$28,080.00 alors qu'il s'élevait à $68,460.00 en 1974 et
à $118,140.00 en 1973, nous pouvons en conclure que
l'année écoulée fut bien réussie.
Ce qui rend possibles de tels résultats, c'est d’abord
votre fidélité à faire vos achats chez votre coopérative;
c'est aussi l'efficacité continuelle des divers secteurs
de notre entreprise.
A la réunion de zone pour la région de Saint-Claude,
M. Alfred Théroux, gérant de la succursale du lieu,
présente son rapport. À sa gauche, le secrétaire, M.
Louis Comte, à sa droite, le gérant, M. Raynald Labos-
sière.
A l'assemblée annuelle de la Coopérative Saint-Léon
COOPERATIVE
Un bon nombre des projets de notre coopérative sont
orientés vers une efficacité encore meilleure et des bé-
néfices authentiques pour ses membres.
RISTOURNE
Comme par les années passées, votre Bureau re-
commande qu'après avoir fait provision pour les im-
pôts sur le revenu, le taux de ristourne à être porté au
capital des actionnaires soit de 5% dans le secteur
construction et environ 8% dans les autres secteurs.
REMBOURSEMENTS EN ESPÈCES
Les déboursements en espèces aux membres, en y
incluant les impôts, la remise de 4% de l'investisse-
ment des actionnaires ayant plus de $100.00 investis,
la remise totale de leur investissement aux membres
ayant atteint 70 ans, à ceux qui ont quitté la région, aux
héritiers des membres décédés, ainsi qu'à certaines
sociétés à but non-lucratif, totalisèrent $65,831.00.
Nous estimons que c'est une somme considérable
pour une année.
La somme totale de remboursements depuis l'incor-
poration, le 20 août 1942, s'élève à $400,000.00. Ainsi
les membres ont économisé une moyenne de 5.9% sur
les achats faits à leur organisation.
ACTIF EN IMMEUBLES ET ÉQUIPEMENT
Les investissements majeurs de l'année furent:
a) à Saint-Claude, le lancement d'une succursale com-
portant un terrain, des bâtiments et de l'équipe-
ment, au coût de $84,818.00. Notons que l'inventai-
re du 31 janvier 1976 révélait une valeur de $118,000,
b) à Saint-Léon, l'agrandissement des locaux pour la
comptabilité et la quincaillerie révélait une dépense
de $20,232.00 à la fin de l’année. Notre coopérative
a maintenant une chambre forte pour remiser nos
dossiers de comptabilité et notre monnaie. Il fallait
cette protection à une entreprise aussi développée
que la nôtre.
BUREAU DE DIRECTION
Votre bureau de direction a tenu huit réunions géné-
rales et plusieurs réunions de comités au cours de l’an-
née 1975. Les membres du Bureau ont aussi assisté à
Progrès
SI
197:
M. l'abbé
plusieurs réunions spét
tres organismes; ils p
la réunion du district
personnel, au séminar
congrès de Portage-la-
agricole. Nos délégués
opératives Fédérées ten
Labossière, président d
Rondeau, directeur.
PERSONNEL
Votre Bureau désire |
opérative pour leur con
nier. Partout on reconn
ployés s’acquittent de
d'autre part la croissar
rendement supérieur.
Le gérant général, M.
Saint-Claude. Le directeur, M. Hugh Green, fait une
présentation à Madame Edith Martel en témoignage
du travail qu'elle a accompli comme membre du comité
d'étude à l’occasion de l'ouverture d'une succursale à
Saint-Claude. Le comité de Saint-Claude était compo- comptables MM. Gilbe
sé de seize personnes et tous reçurent un souvenir en secrétaire, M. Louis Cc
gage de remerciement pour leur beau travail. Labossière.
rapport. |! relève le pr
secteurs des opération
moire de M. l'abbé Adé
tembre 1975. Apparais
Ltée, hommage fut rendu à la mémoire de M. l'abbé
Adélard Couture, le Desjardins du mouvement coopé-
ratif franco-manitobain, dont le dévouement, la compé-
tence et le génie inspirateur furent les germes des réa-
lisations d'aujourd'hui. Les coopératives de La Monta-
gne en conservent un impérissable souvenir et s’atta-
chent à perpétuer son oeuvre.
/ f
10 / LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976
constant
\INT-LÉON LIMITÉE
1976
ard Couture.
3 avec les dirigeants d'au-
ipèrent particulièrement à
Winnipeg portant sur le
irecteurs à Carman, et au
ie touchant la production
réunion annuelle des Co-
Saskatoon furent M. Rhéal
re coopérative, et M. René
les employés de notre co-
tion au progrès de l'an der-
1e la manière dont les em-
tâche affecte la clientèle;
es ventes les oblige à un
id Labossière, donne son
accompli dans tous les
‘endit hommage à la mé-
D'outure, décédé le 10 sep-
aussi sur la photo, les
mte et Louis Kirouac, le
et le président, M. Rhéal
Tout en appréciant grandement notre personnel,
nous devons remarquer que les salaires constituent
l'item le plus élevé des dépenses. Comme notre coopé-
rative est de plus l'un des principaux employeurs de la
région, elle doit s'attacher à développer des politiques
et programmes adéquats de personnel. C'est par un
recrutement judicieux et des programmes de perfec-
tionnement que notre coopérative prévoit obtenir le
personnel requis à son développement.
LES PRIORITÉS DE 1976
1 - DÉPARTEMENT DES PRODUITS AGRICOLES
Nous avons l'intention de compléter l'étude de la
manutention des engrais d'ammoniaque anhydre. Lors-
que les nouvelles usines de Canadian Fertilizers
Limited entreront en production, la chaïne des coopé-
ratives de distribution aura de meilleurs approvisionne-
ments d'urée et d'engrais d'ammoniaque anhydre. L'on
prévoit que les premières expéditions de cette nouvelle
usine se feront à l'été 1976 et au début de 1977. Ce
complexe industriel de $200 millions de Medicine Hat
sera alors achevé.
La manutention et l'entreposage de ces produits
cause des problèmes à votre coopérative. Ils exigent
un autre investissement de $85,000.00. L'étude de la
praticabilité d'un centre de distribution d'engrais, sur-
tout d'ammoniaque, devrait être complétée dans quel-
ques mois. Votre Bureau sera alors en mesure de déci-
der de poursuivre ou d'abandonner ce projet.
2 -LIVRAISON DE CARBURANTS
Un nouveau camion G.M.C. de la série 6500 avec
réservoir en aluminium de cinq compartiments d'une
capacité de 2100 gallons fut acheté au prix de $26,500.
Ce nouvel appareil de livraison améliorera ia qualité de
notre service actuel.
Le 27 mai 1975, les raffineries Consumers Coop
ont complété 40 ans d'excellents services au système
des coopératives. Cette raffinerie, propriété des con-
sommateurs, fut la première raffinerie coopérative du
monde. Elle est la seule raffinerie possédée complète-
ment par des Canadiens, si l’on fait exception d’une
autre petite.
3 - LA SUCCURSALE D'ALTAMONT
Votre Bureau de direction a autorisé une étude de
la possibilité d'ajouter à nos services de garage. Le
A l'assemblée annuelle du 22 juin 1976. Le président
de la Coopérative Saint-Léon Ltée, M. Rhéal Labossiè-
re, présida la réunion avec le secrétaire, M. Louis
Comte. Le prix de présence, un appareil de télévision
portatif, fut gagné par M. Cailler, de Manitou. Un se-
cond prix, tiré à l'intention des moins de 16 ans, fut
gagné par M. Richard Rondeau, de Saint-Léon. Le vice-
président, M. Fraser Mcintosh, présenta le rapport du
bureau de direction. Les comptables, MM. Gilbert
Comte et Louis Kirouac, présentèrent le rapport finan-
cier. M. René Rondeau fut réélu directeur et M. Ronald
Lowry fut élu pour la première fois. L'orateur invité
était le vice-président de la Fédérée (F.C.L.), M. Ed.
Klassen.
département des ventes au détail des Coopératives
Fédérées est à faire cette étude et nous fera des recom-
mandations.
4 - GÉRANCE DES COMPTES RECEVABLES
Nous devons porter une attention bien spéciale à la
gérance des comptes recevables et aux inventaires
au cours de cette année 1976, notre préoccupation
étant de conserver assez de capital courant et de rédui-
re les emprunts au minimum.
CONCLUSIUNW
Ainsi nous arrivons au terme d'un autre rapport
annuel, nous fermons la porte d’une autre année qui a
fourni à notre coopérative de nouveaux progrès, de
nouveaux défis et une expérience qui permet de les
relever,
Le Bureau des directeurs est touché de la confiance
des membres en l'avenir de notre association telle que
manifestée par la fréquentation de nos magasins, ser-
vices et succursales que tous ensemble nous
possédons et administrons.
Ces établissements ne survivent que par une clientè-
le fidèle. Nous vous prions de leur donner votre plein
appui.
Nous avançons dans la deuxième moitié de la décen-
nie 1970; c'est l'occasion pour notre coopérative de
fournir davantage de leadership non seulement dans
les affaires, mais dans toute la vie de cette région.
Nous pouvons tous contribuer à atteindre cet objectif
en conservant à l'esprit que c'est la mesure de notre
loyauté et de notre support qui rendront notre coopéra-
tive forte et vigoureuse.
Soumis respectueusement par:
Votre Bureau de direction
Rhéal Labossière, président
Fraser Mcintosh, vice-président
Louis Comte, secrétaire
René Rondeau, directeur
Ronald Lowry, directeur
Roland Talbot, directeur
Hugh Green, directeur
Une partie de l'assistance à la réunion de zone tenue
au centre récréatif de Saint-Claude, le 29 juin 1976.
On remarque sur la photo, MM. Charles et Joseph Phi-
lippot, Madame Poirier, MM. Robert Habeck, Léon
Chappellaz, Arsène Girardin, Roland Rey, Victorin,
Hubert et Michel Chappellaz, Gilbert Pineau, Gary
Green et Guy Fournier.
O
LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976 / 11
.
de la vie publique (...) Le flot démocrati-
que a coulé irrésistiblement par une pente
qui devenant de plus en plus rapide, ren-
versera sans violents efforts les impuls-
sants obstacles que l'on peut tenter de lul
opposer, Dans ces circonstances, faut-il
abattre, ou n'est-il pas mieux d'user en
mauvais gouvernement par la résistance
constitutionnelle que l'on peut, que l'on
doit lui faire éprouver en parlement? (,.,)
“Quels conseils nous ont donnés ceux
de nos amis qui ont si honorablement pris
notre défense en parlement? |ls ont dit aux
ministres: Les Canadiens sauront vous
punir, et se combiner pour appauvrir votre
commerce et votre revenu (...) C'est la mar-
che qu'ont pris les Américains, dix ans
avant de combattre, Ils ont bien commen-
cé, et ils ont bien fini dans des circons-
tances semblables à celles où nous som-
mes placés, Nous n'en sommes qu'à bien
commencer (...) Je crois que nous devons
prendre l'engagement de discontinuer
l'usage des vins, eaux de vie, rhums et de
toutes autres liqueurs spiritueuses, impor-
tées et taxées. L'on trouvera l'avantage pu-
blic et particulier dans l'abstinence de ces
objets, Mais qu'au moins, ceux qui croient
trouver de l'utilité dans l'usage des spiri-
tueux consomment ceux qui sont fabri-
qués dans le pays, plutôt que ceux qui
viennent du dehors.
“Ce n'est pas par une vaine gloriole que
je le dis, la résolution me paraît trop natu-
relle pour qu'elle ait beaucoup de mérite,
j'ai de suite renoncé à l'usage du sucre raf-
finé mais taxé, et acheté pour l'usage de
ma famille du sucre d'érable; je me suis
procuré du thé venu en contrebande et je
sais plusieurs personnes, qui en ont fait
autant, J'ai écrit à la campagne pour me
procurer des toiles et des lainages fabri-
qués dans le pays, et j'espère les avoir
assez: à bonne heure pour me dispenser
d'en acheter d'importation. J'ai cessé de
mettre du vin sur ma table et j'ai dit à mes
amis: Si vous voulez vous contenter de la
poule-au-pot, d'eau, de bière, ou de cidre
canadiens, puis de propos bien pleins d'in-
dignation, si par hasard la politique whig
ou tory vient en question; bien pleins de
gaîté sur des sujets légers, les plus variés
que nous pourrons trouver sur le temps
présent et passé, sur tout ce qui nous pas-
sera par la tête, allons venez, et dinons
sans un verre de vin (...)"
LES DÉPUTÉS CANADIENS FRANÇAIS
PARAISSENT À LA CHAMBRE VÊTUS
D'ÉTOFFE DU PAYS. LES ASSEMBLÉES,
SE MULTIPLIENT, LES FOULES SONT
SUREXCITÉES
Le 18 août 1837, Lord Gosford convoque
la Chambre. Les députés y paraissent vêé-
tus d'habits d'uétoffe du pays», portent des
chaussons tricotés à la main, des souliers
faits à la maison. L'atmosphère devient
tellement tendue que le gouverneur pro-
roge la Chambre au bout de dix jours.
Les assemblées se multiplient à Mont-
réal. Les foules sont surexcitées. Le vent
de la révolte souffle. Le 23 octobre, à l'as-
semblée dite ‘‘des Six-Comtés”, tenue à
Saint-Charles-sur-le-Richelieu, Papineau
prend peur, tente de calmer la foule, Mais
le docteur Wolfred Nelson, le président de
la réunion, proclame: ‘Je dis que le temps
est venu. Je vous conseille de mettre de
côté vos plats et vos cuillers d'étain pour
en faire des balles”, Le docteur Côté ren-
chérit: “Le temps des discours est passé.
C'est du plomb qu'il faut envoyer à nos
ennemis!"
LA POPULATION ANGLAISE DE
MONTRÉAL RÉAGIT, S'ARME
A Montréal, on a distribué des armes à
la population anglaise, Les Fils de Ja
Liberté, qui se sont donnés pour mission
“d'émanciper notre pays de toute autorité
humaine, si ce n'est celle de la démocra-
REVETEMENT MURAL : 942-7317
WESTERN
PAINT AND WALL COVERINGS
LE PLUS GRAND ASSORTIMENT
DE PEINTURE ET DE
REVETEMENT MURAL
DANS L'OUEST CANADIEN
Hargrave et William
L'INSURRECTION … (suite)
tie”, constituent un corps armé que Lord
Gosford ordonne de dissoudre, Au sortir
de l'une de leurs réunions, le 6 novembre,
les Fils de la Liberté sont attaqués par un
parti du Doric Club, association anglaise
adverse, Les membres du Doric Club sor-
tent vainqueurs de la bagarre et se dirigent
vers l'ateller de Perreault, qui imprime le
Vendicator, journal du docteur O'Calla-
ghan, qu'ils mettent à sac, Puis ils mena-
cent la résidence de Papineau.
Le commandant militaire, John Colbor-
ne, a reçu des renforts du Haut-Canada et
des Maritimes, || fait parader des batail-
lons dans la ville, Des coups de fusils sont
tirés contre les maisons des Loyalistes,
Le curé Paquin, de Saint-Eustache, écrit
que ‘‘dans les campagnes, des politiques
exaltés parcourent les chemins, la nuit
(mutilant) les chevaux et autres bestiaux
et (causant) des dommages en plusieurs
endroits"
L'AUTORITÉ RELIGIEUSE INTERVIENT
L'autorité religieuse est intervenue, Le
24 octobre, l'évêque de Montréal, monsei-
gneur Lartigue, a lancé un mandement
rappelant à ses ouailles le “devoir du ca-
tholique à l'égard de la puissance établie",
La Minerve écrit que ce document est ridi-
cule ‘absurde, Le Canadien s'est pronon-
cé ‘‘contre toute rébellion", || est tard.
Gosford a demandé à Londres l'autorisa-
tion de proclamer la loi martiale et suspen-
dre l'habeas corpus. Le 16 novembre, il
ordonne l'arrestation des chefs patriotes.
Le président des Fi/s de la Liberté, André
Ouimet, est emprisonné. Papineau,
O'Callaghan, Perreault, Brown, prennent
la fuite, Ce jour-là, sur la rive sud, entre
Chambly et Longueuil, des patriotes, sous
la conduite de Bonaventure Viger et du
docteur Kimber, attaquent un détachement
du Montreal Volunteer Cavalry, C'est la
révolte.
LES CAUSES VÉRITABLES DE LA
RÉBELLION SONT COMPLEXES,
ET LOINTAINES
Durant longtemps, on a expliqué les
événements de 1837-1838 par quelques
formules simples. Les recherches du pro-
fesseur Fernand Ouellet montrent que les
causes de la rébellion sont complexes, et
lointaines,
“Certains historiens, écrit-il, (...) ont vu
dans le mouvement insurrectionnel de
1837-38 le fruit d'une poussée subite de
colère et d'indignation, évidemment non
préméditée, qui aurait été déclenchée par
les résolutions de Lord Russell qui vio-
laient un principe constitutionnel. Cette
vue des choses nous paraît assez peu con-
forme à la mentalité canadienne-française.
Le recours spontané aux armes n'a jamais
été le moyen de prédilection utilisé par les
Canadiens Français pour réaliser leurs
objectifs collectifs ou pour faire valoir
leurs réclamations. Lafontaine qui les con-
naissait bien disait que leur arme princi-
pale était l'inertie et, ajoutons-le, l'agita-
tion verbale, Les insurrections ne s'expli-
quent principalement ni par une réaction
spontanée ni par le souci de défendre des
principes, soit politiques, soit constitu-
tionnels. La masse paysanne ne vivait pas
encore à l'âge du libéralisme ni à celui de
la démocratie”.
“(...) Il nous paraît évident que si le mou-
vement insurrectionnel n'avait eu que des
racines politiques, même lointaines, il
n'aurait pas eu lieu. || est non moins
clair que s'il n'avait engagé que des prin-
cipes abstraits, il n'aurait en aucune façon
mobilisé la masse rurale, pas plus au res-
te que les professions libérales. (...) La
crise qui prépare l'explosion insurrection-
nelle, était d'abord économique et sociale
avant d'être politique. La crise agricole,
7
PEINTURE : 942-7271
les tensions démographiques et sociales,
la situation particulièrement critique des
professions libérales sont les fondements
principaux de la réaction nationaliste qui
mobilise certaines élites et rallie une por-
tion importante de la masse, On ne niera
pas non plus l'influence des idéologies
autres que le nationalisme (.,,) Le libéra-
lisme français et anglais, le radicalisme
britannique, la démocratie jeffersonnienne
et jacksonnienne ont tour à tour et à des
degrés divers influencé les élites politi-
ques en fonction même des besoins qui
leur étaient propres, Mais des courants
idéologiques n'ont jamais rejoint les mas-
ses rurales pas plus que la minorité
ouvrière, Au total, on dira que ces
systèmes de valeurs et de pensée demeu-
rent tributaires des fins poursuivies par
l'idéologie dominante, le nationalisme,
Ajoutons qu'avant de s'exprimer dans deux
insurrections successives, la réaction na-
tionaliste, parce qu'elle visait au contrôle
des structures politiques au profit des
professions libérales et de la nationalité
canadienne-française, s'affirme au niveau
politique, À partir de 1806, les conflits po-
litiques s'enracinent en même temps que
les malaises économiques, les pressions
démographiques et les tensions sociales.
(...)
L'historien fait remarquer qu'il ne faut
“pas oublier non plus le rôle capitai des
personnalités dominantes, en particulier
celui de Papineau. Ce dernier est à la fois
le reflet de la situation, un de ses princi-
paux définisseurs et l'instrument par
lequel s'exprime la réaction nationaliste.
Ses ambitions, ses intérêts et surtout sa
personnalité en font l'homme de cette ré-
action. Arrivé à la tête du mouvement na-
tionaliste pour toutes sortes de motiva-
tions, il parvint à en conserver la direction
pendant près de vingt-cinq ans. Après
1830, il forme le projet de devenir prési-
dent d'une république canadienne-fran-
çaise indépendante où rattachée à l'Angle-
terre par des liens fort ténus. Mais Papi-
neau était l'homme de l'opposition, de
l'obstruction systématique et de l'agita-
tion verbale. |! n'était pas de taille pour
l'action. Idéaliste, doctrinaire, indécis,
profondément tiraillé entre des tendances
contraires, son royaume était la Chambre
d'Assemblée. || était davantage le symbo-
le que l'animateur d'un mouvement révolu-
tionnaire, En somme, rien ne le prédispo-
sait, si ce n'est son ambition et la fidélité
au mythe qu'il incarnait, à être le chef
d'une insurrection et à le demeurer après
tout. Pourtant ses attitudes politiques
conduisent directement à une prise d'ar-
mes. L'obstruction systématique qu'il pra-
tique après 1831-32 et l'intransigeance de
ses revendications ne pouvaient avoir d'au-
tre issue à moins que l'Angleterre et la mi-
PAP A D CP RS A
TRANSPORT CANADA
SOUMISSIONS
Le SOUMISSIONS CACHE:
TÉES, adressées à Transport
Canada et marquées ‘Soumis-
sion pour travaux de peinture à
l'extérieur - Immeuble du termi-
nus de l'Aéroport International
de Winnipeg”, seront reçues jus-
qu'à 3h00 P.M., HEURE DE WIN-
NIPEG, le 17 septembre 1976,
pour des travaux de peinture des
surfaces déjà peintes de l'Iim-
meuble du terminus de l'Aéroport
International de Winnipeg.
Les plans, devis, documents
contractuels et autres renseigne-
ments peuvent être obtenus au
bureau de l'Agent régional des
norité britannique du Bas-Canada ne con-
sentent à des concessions globales, Au
moment où débute l'année 1837, les
conflits politiques paraissent Insolubles,
En somme, les insurrections de 1837-38
seraient l'aboutissement logique d'un en-
semble de facteurs, dont certains jouaient
depuis les premières années du XIXe siè-
cle, Est-ce à dire, demande Ouellet, que
cela suffisait à garantir le succès de l'opé-
ration?"
On se ressent au pays, en 1837, de la
crise économique qui sévit en Angleterre
où, dès le début de l'année, on signale des
faillites bancaires, Les récoltes y avaient
été mauvaises, ce qui aurait pu aider le
Haut-Canada et le Bas-Canada, mais on
n'est pas en mesure de tirer profit de la si-
tuation,
Les Etats-Unis subissent aussi une
crise, et au mois de mai, les banques ces-
sent les paiements en espèces, ‘La crise
financière, poursuit Ouellet, rejaillit ensui-
te en Angleterre, (...) Au total, l'année 1837
aurait été particulièrement dure en Angle-
terre, Lorsqu'on connaît la sensibilité ex-
acte de l'économie bas-canadienne à la
conjoncture qui prévaut dans la métropole,
on peut être assuré de trouver dans la
vallée du Saint-Laurent une situation ana-
logue. D'ailleurs le Bas-Canada était déjà
travaillé profondément par la crise agri-
cole”,
Ouellet cite La Minerve, qui traite de la
situation à Montréal:
“La glace sur le fleuve, déclare un ob-
servateur, est maintenant sillonnée de tra-
verses dans toutes les directions; et les
gens du sud ont un accès facile à la ville.
Cependant les chemins sont toujours
mauvais, le vent les remplit à mesure
qu'ils se battent, li vient peu de monde
au marché, et le prix des provisions aug-
mente toujours et l'argent devient de plus
en plus rare, Sans les secours que reçoit
l'indigence à la maison d'industrie, il n'y a
pas de toute une quantité de pauvres gens
seraient morts de faim et de froid dans la
longue et rigoureuse saison de l'hiver.
Quoique la détresse ne soit pas aussi
grande dans nos districts que dans celui
de Québec, il ne laisse pas d'y avoir
beaucoup de nécessiteux. Les récoltes ont
été bien médiocres dans beaucoup de pa-
roisses, La rareté de l'argent est à l'ordre
du jour dans presque tout le pays”.
(A SUIVRE)
M. GODIAS BRUNET
Nous apprenons que Monsieur Godias Brunet, bien connu à
Saint-Boniface, auteur et calligraphe de renom, et dont on
lit à l'occasion les textes dans LA LIBERTE, a fait une chute
à son domicile et s'est fracturé un bras. Nous lui offrons nos
voeux de prompt rétablissement,
AVIS
Le DOCTEUR GILBERT BOHÉMIER
annonce que son bureau, situé au
Centre culturel Sabourin, à Saint-Pierre
est maintenant situé avenue Jolys, Est.
Au téléphone: 433-7256
Approvisionnements, Transport
Canada, 6e étage, 125, rue Garry,
C.P. 8550, Winnipeg, Manitoba,
R3C CP6, sur réception d'un chè-
que visé au montant de $25.00
fait à l'ordre du Receveur général
du Canada. Le ministère ne s'en-
gage à accepter ni la plus basse
ni aucune des soumissions.
D. À. Lane
Administrateur,
Région du Centre
Administrateur des Transports
aériens du Canada.
GLADSTONE
RENT A RENT
CAR F4 TRUCK
775-4545
Jean Gauthier
gérant
TRANSPORT CANADA
SOUMISSIONS
Des soumissions’ cachetées,
adressées à Transport Canada et
marquées “Soumission pour qa-
rage d'équipement - Aéroport In-
ternational de Winnipeg", seront
reçues jusqÜ'à 3h P.M., HEURE
DE WINNIPEG, le 10 septembre
1976, pour la construction d'une
allonge au garage servant à remi-
ser l'équipement lourd à l'aéro-
port International de Winnipeg,
Winnipeg, Manitoba.
Les plans, devis et documents
contractuels peuvent être obte-
nus sur demande, de Transport
Canada, Agent régional des Ap-
provisionnements, 6e étage, 125,
rue Garry, Case postale 8550,
Winnipeg, Manitoba, R2C OP6,
accompagnée d'un chèque visé
fait à l'ordre du Receveur général
du Canada au montant de $25. Le
ministère ne s'engage pas à ac-
cepter la plus basse soumission
ou quelque autre des soumis-
sions reçues.
D. À. Lane
Administrateur,
Région du Centre
Administration des Transports
aériens du Canada.
TRANSPORT CANADA
SOUMISSIONS
Des soumissions cachetées,
adressées à Transport Canada et
marquées “Soumission pour pro-
longement d'égout, Aéroport de
Le Pas”, seront reçues jusqu'à
3h00 P.M,, HEURE DE WINNI-
PEG, le 4 septembre 1976, pour
le raccordement de deux immeu-
bles à appartements et un garage
d'entretien au système d'égout
de l'Aéroport de Le Pas, Manito-
ba.
Les plans, devis et aocuments
contractuels peuvent être obte-
nus sur demande, de Transport
Canada, Agent régional des Ap-
provisionnements, 6e étage, 125,
rue Garry, C.P. 8550, Winnipeg,
Manitoba, R3C OP6, sur récep-
tion d'un chèque visé au mon-
tant de $25.00 et fait à l'ordre du
Receveur général du Canada. Le
ministère ne s'engage pas à ac-
cepter la soumission la plus
basse ou quelque autre des sou-
mISSIOnS reçues.
D. A. Lane
Administrateur,
Région du Centre
Administration des Transports
aériens du Canada.
M. J.-A. SCHIMNOWSK!I, président
La
12 / LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976
elles du reste du pays
sur peut-être la plus
Ai tiquement évoluée du
corps électoral québécois.
Il aura en retour ramené au-
puys un document qui ne
voudra rigoureusement rien
dire de plus tant qu'il n'aura
pas été enrichi d'une procé-
dure dûment acceptée d'a-
mendement; tout au plus M.
Trudeau aura-t-il accru los
craintes de milliers de sos
concitoyens québécois vou-
iant que le pouvoir fédéral
soit plus fortement tenté que
Jamais, après le rapatriement
d'utiliser la constitution à
son avantage, avec ou sans
formule de modification.
Le mellleur consell que
l'on pourrait présentement
donner à M. Trudeau serait
de s'abstenir de toute ini-
tlative unilatérale qui n'au-
ralt pas des chances raison-
nables de rallier l'opinion
des Québécois, y compris
de leur gouvernement légi-
time qui siège à Québec.
Ce qui presse bien davan-
tage que le rapatriement de
l'AANB pour M. Trudeau à
l'heure actuelle, c'est de
trouver au sein de son équipe
ministérielle un collègue an-
alophone capable de prendre
sur ses épaules avec con-
viction et autorité morale la
question du bilinguisme qui
demeure pour l'instant la
plus pressante. Qu'on oublie
quelque peu le Québec à cet
égard: M. Trudeau peut très
bien continuer de s'en char-
ger et, s'il paraît défalllir,
MM. Marchand, Joyal, De
Bané et autres seront là pour
le lui signaler, C'est pour
l'heure le Canada anglais qui
traîne la patte. Il est temps
que se lève parmi l'équipe
relativement faible des mi-
nistres et des députés an-
glophones les leaders qui
pourront se charger plus
directement de cette dimen-
sion du problème. Cela pres-
se bien plus que le repatrie-
ment de l'AANB.
On ne saurait enfin oublier
que la crise de confiance qui
frappe le gouvernement pro-
cède probablement davanta-
ge de facteurs économiques
que de la question linguis-
tique. Cet aspect de la crise
remonte directement au dé-
part de M. John Turner, qui
n'a pas été remplacé.
M. Turner n'était ni un
économiste, ni un financier,
ni un capitaine d'industrie. |!
était ce qu'il y a de plus clas-
sique en politique, c'est-à-
dire un avocat. Mais il inspi-
rait confiance aux milieux
d'affaires et à de larges sec-
teurs de l'opinion, parce qu'il
avait la réputation de se tenir
debout devant M. Trudeau. ||
possédait en outre un excel-
lent nez politique et écono-
mique. Ce qu'il ne savait pas
de science direcie, il savait
le puiser à bonne source.
Les changements...
Mals même si son départ
remonte à près d'un an, M,
Turner n'a pas été remplacé,
Parmi les ministres qui diri-
gent présentement des mil-
nistères économiques, au-
cun ne jouit d'une autorité
particulièrement forte auprès
des milieux d'affaires. Seuls,
à vral dire, MM. Sharp et
Drury ont à cet égard une
taille supérieure, Mais lis
sont maintenant arrivés à
l'âge de la retraite, et les dé-
lals que M. Trudeau met à le
reconnaître témoignent de la
faiblesse du reste de l'équipe
ministérielle en matière éco-
nomique.
S'il veut surmonter la crise
actuelle, M. Trudeau devra
s'employer avant tout à res-
taurer l'autorité économique
de son gouvernement. Cela
ne sera possible que s'il
réussit à définir des politi-
ques économiques mieux
adaptées aux besoins du
pays et à s'entourer de col-
laborateurs capables d'Inspl-
rer davantage confiance aux
divers agents de l'économie.
Sous l'angle de l'aptitude à
faire face aux problèmes re-
liés à l'unité canadienne, le
Parti libéral conserve une
avance objective sur le Parti
progressiste-conservateur et
le Parti néo-démocrate, qui
en sont encore à tenter de se
donner une base solide au
Québec. Les libéraux ont
toutefois très souvent joué
cette corde dans le passé. Il
en est resté chez plusieurs
un certain goût de cendre qui
finit par rendre sceptiques
et désabusés maints esprits
qui seraient normalement
disposés à une action cons-
tructive. Rien ne risquerait
de desservir davantage le
pays et les Libéraux eux-mé-
mes qu'une tentative plus ou
moins machiavélique visant
à utiliser encore une fois
dans le contexte actuel la
question de l'unité canadien-
ne pour leurs propres fins
politiques.
La crise de confiance dont
souffre le gouvernement Tru-
deau est sans doute susci-
tée en partie par des élé-
ments qui s'opposent à l'a-
vènement d'une unité réelle
et durable entre les deux
peuples fondateurs. Mais
elle s'alimente aussi à bien
d'autres causes, dont les
plus importantes découlent
des politiques du gouverne-
ment. Pour refaire son auto-
rité, celui-ci ne saurait em-
prunter de meilleure voie que
celle d'un renouvellement en
profondeur de ses politiques
et de son équipe ministé-
rielle. Ce renouvellement est
devenu pressant. Mieux vau-
dra toutefois attendre un
certain temps et avoir un vrai
renouvellement que d'avoir
tout de suite des initiatives
isolées qui ne feraient que
changer le maquillage.
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LE BILINGUISME
par BENOÎT PARIS, o,m.l,
QU'EST.CE QUE C'EST?
Si nous sommes encore à la recherche d'une définition
du bilinguisme c'est qu'il est bien difficile d'en saisir l'es-
sence, d'en mesurer l'étendue,
De quoi s'agit-il au juste? Un bilinguisme individuel, ou
bien social et politique; un bilinguisme au niveau administra-
tif et économique? Et à quel niveau, s'Il-vous-plañ? Pour se
tirer d'embarras dans les deux langues en question? Pour
travailler dans les deux langues là où des connaissances
supérieures sont requises? Pour son profit personnel où pour
conserver l'identité culturelle de son milleu?
Il faut donc savoir ce que l'on veut; il faut à tout prix bien
déterminer le but à poursuivre avant de songer aux moyens
à prendre.
Mais il y a encore beaucoup plus. Le bilinguisme s'adresse
à des êtres humains, Or, les êtres humains ne sont pas des
outils; ils sont faits de chair et de sang. Dès que nous par-
lons de deux langues, nous parlons de deux groupes ethni-
ques; deux groupes ethniques qui vivent avec l'image qu'ils
se font d'eux-mêmes, avec leurs émotions qui sont différen-
tes, avec leur niveau de vie socio-économique différent, |l y a
donc beaucoup plus que la facilité à s'exprimer en deux lan-
gues différentes, Il s'agit de deux cultures, de deux modes
dont les langues sont le véhicule.
AU NIVEAU DE L'APPRENTISSAGE
Rappelons-nous tout d'abord que la langue maternelle
n'est pas nécessairement la langue dominante. || semble
même évident que, dans notre contexte nord-américain, l'an-
glais soit la langue dominante chez tous les groupes minori-
taires, || peut aussi exister un soi-disant bilinguisme à un
bas niveau de connaissance dans les deux langues.
Le bilinguisme suppose deux systèmes linguistiques co-
ordonnés, mais indépendants l'un de l'autre et sans compé-
nétration réciproque. Les vrais bilingues sont donc des cas
d'exception. || s'agit en effet de — deux langues différentes
— entendues de deux manières différentes — au moyen des
mêmes organes auditifs d'un même locus — pour être asso-
ciés de deux manières différentes — aux mêmes centres cé-
rébraux lesquels susciteront — deux expressions différen-
tes — à l'aide des mêmes organes phonateurs. Ajoutons en-
core que la langue seconde est enregistrée dans l'esprit du
locus en une symbolique propre à la langue première, et que
cette symbolique est transformée enirritations neuro-physio-
logiques coutumières. C'est de là que naissent les interféren-
ces dans la pensée et dans l'expression.
Il s'ensuit donc que, avant d'entreprendre l'apprentissage
d'une deuxième langue, il faut assurer la connaissance de la
première. || ne faudrait pas conclure par là qu'il est impossi-
ble d'apprendre deux langues simultanément, || est même
conseillé de commencer l'apprentissage d'une langue
seconde dès la troisième année scolaire, Mais dans ce cas, il
est question de langue seulement et non de tout un program-
me bilingue. Nous revenons ainsi à la question du début:
quel but poursuivons-nous?
UN CHOIX S'IMPOSE
Ou bien d'autres choisiront pour nous: c'est-à-dire la
société dans son ensemble. Là où une langue domine forte-
ment le milieu, la minorité ethnique a vite fait d'embofñter le
pas à moins de prendre nettement conscience de son identité
et des moyens de l'assurer. On peut rencontrer les attitudes
les plus diverses mais conduisant toutes au même dénoue-
ment. Du côté de la majorité, c'est tout d'abord le contrôle
de l'économie. Ce contrôle lui permettra de mesurer comme
elle l'entend les concessions faites à la minorité. Nous
aurons ainsi des périodes de tolérance, d'ostracisme, de con-
descendance et, par exception, des moments de bonne
volonté et de justice. Mais il vient toujours un moment où
cette majorité dit: vous n'irez pas plus loin. Les gens de l'air.
viennent de prouver encore une fois ce que l'histoire a tou-
jours enseigné.
Du côté de la minorité, ce peut être le désir d'une assimi-
lation rapide ou encore le souhait d'un bilinguisme pieux qui
ne dérangera personne ni chose. Adaptation, bonne entente;
tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes: les politi-
ciens s'assurent d'une attitude qui ne leur coûtera aucun
vote, l'Eglise est pour tous sans distinction c'est-à-dire pour
la majorité, les professeurs ont bien soin de suivre le cou-
rant, le public dans son ensemble s'assure qW'il ne trouble en
rien la paix générale en se conformant à toutes les coutumes
et à tous les usages qu'il voit chez les autres. || peut au be-
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structures établies: 1! doit prouver à tous qu'il ne partage pas
de telles idées,
La situation est encore plus grave (et se comprend mieux)
pour celui qui est maintenu dans une situation économique
Inférieure au niveau normal, Dans ce cas, sa langue, sa cultu-
re, et surtout son accent deviennent la cause de tous ses
maux, |l suffit d'ailleurs de rappeler cet accent à la mémoire
pour le faire entrer sous terre,
Mais si le groupe minoritaire veut assurer son propre des-
tin, alors il se doit de déterminer d'une manière blen précise
le but à atteindre et de choisir les moyens pour y arriver,
CONCLUSION
Evidemment, il faut reconnaftre à chaque personne le droit
de choisir la forme d'identité ethnique qu'elle désire, Mais il
ne faut pas non plus lâcher la proie pour l'ombre: faux-
fuyants, prétextes plutôt que raisons profondes, attaques
aux personnes plutôt qu'aux structures établies,
Si la communauté francophone, en milieu minoritaire, veut
survivre et s'épanouir, elle doit établir des bases bien solides
dans la famille et à l'école, Elle doit également sortir des ca-
dres étroits de la cuisine ou de la salle de classe pour rayon-
ner à tous les échelons de la société. Nous parlons souvent
d'adaptation à notre milieu, C'est le cas de préciser: accep-
tez-nous et respectez-nous pour ce que nous somrnes,
Même si les groupes minoritaires ne peuvent guère exer-
cer de pression économique, ils ne sont pas pour autant dé-
pourvus d'outils: c'est la PRESENCE et l'EXCELLENCE. Ce
sont là nos deux sources de vie pour aujourd'hui et pour de-
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l'hôpital de Pine Falls, est
décédé Raoul Papineau,
époux de Thérèse Parent, M,
Papineau est né à Saint-
Georges, Manitoba, le 25
mars 1921, || demaeura et tra-
vallla sur la ferme de ses pa-
rents pour de nombreuses
années, || travailla ensuite
quelques années à Saint-
Jean-Baptiste; vers 1946, Il
revint à Saint-Georges et prit
un emploi au moulin à papier
à Pine Falls -—- emploi qu'il
garda jusqu'à sa mort, Outre
son épouse, M. Papineau
laisse dans le deuil trois
enfants: Lorraine de Saint-
Boniface, Diane et Claude à
la maison, cinq frères: An-
tonio et Oscar de Great
Falls, Emérille de Saint-
Georges, Marius de Terrace
Bay, Ontario, et Roland de
Saint-Norbert; deux soeurs:
Jeannette (Mme Albert La-
voie) et Yvette (Mme Carl
Anderson); de Powerview,
sa grand-mère, Mme Vitali-
ne Vincent de Villa Youville,
Sainte-Anne - des - Chênes,
ainsi que de nombreux ne-
veux et nièces. || fut précé-
dé dans la tombe par ses
parents, M. et Mme Odias
Papineau et son frère Zé-
phir,
Les prières furent récitées
en l'église Notre-Dame-du-
Laus, vendredi à 7 heures du
soir, M. le curé Paul Gagné
célébra la messe des funé-
railles le lendemain à 11
heures du matin. L'inhuma-
tion eut lieu au cimetière
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chard et Gilbert Papineau,
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de Beauséjour était en char-
ge des arrangements funé-
ralres,
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Les familles Papineau et
Parent désirent remercier
tous leurs parents et amis
de leurs aide et soutien mo-
ral dans cette épreuve: pour
marques de sympathie, as-
sistance aux funérailles, of-
frandes de messes et tributs
floraux, cartes mortuaires
etc, Un merci spécial à M, le
curé Gagné, aux chantres, à
l'organiste, aux porteurs et
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pour le bon goûter servi,
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peg, qui a subi une opéra-
tion à un oeil. — Mme Léo
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ceuse de Powerview, Mme
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jolie somme de $1,200 à un
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voyages et visites: Soeur
Pauline Alarle, fille de M, et
Mme Paul Alarie, fait à Inter-
valle des visites à ses pa-
rents; Soeur Alice Chèvre-
fils, fille de M, et Mme Hervé
Chévrefils, fait de même,
Cette dernière est revenue
d'Afrique après un séjour de
deux ans et doit y retourner
à l'automne,
+
D'Ottawa sont venus M, et
Mme Armand Beaulieu et
leurs deux fillettes visiter
leurs tantes Mmes Louis Pat-
terson et Armand Désilets,
leur cousine, Mme Hervé
Chèvrefils et les amis. [ls
sont maintenant établis à
Winnipeg avec leur famille.
M. et Mme Eugène Beaulieu
et leurs deux petits garçons
sont aussi venus
Le ter juillet, M. et Mme
Joseph Vincent eurent la vi-
site de M, et Mme Delphin
Nault (soeur de Mme Vin-
cent) de Saint-Boniface. La
semaine suivante ils rece-
valent le Père Ephrem Pelle-
tier de Camperville, sa soeur
Rose et Alex Pelletier de
Saint-Boniface et M. et Mme
H, Robin de Thunder Bay. Le
Père Pelletier et Alex sont les
frères de Mme Vincent et les
dames ses soeurs. Durant
ce mois M. et Mme Vincent
ont visité la mère de M, Vin-
cent, Mme Victorine Vincent,
à la Villa Youville, de Sainte-
Anne,
Mme Armand Désilets
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Y as-tu pensé?
Une fête au Centre Kiwanis
Jeudi, le 19 courant, nous
avons festoyé au centre KI-
wanis, 625, Aulneau, Les
membres, au nombre de 42,
d'un club d'Age d'Or de Sher-
brooke, (Québec) ont fait ar-
rêt chez nous et notre Prési-
dente, Mme Dégagné, mani-
festa sa joie de les recevoir
avec des mots choisis et
pleins de chaleur, ensuite
demanda à un. membre de
son club, Mme L, Durand,
ancienne Québécoise, de
leur dire sa joie de rencon-
trer des gens de chez-eux.
elle s'exprima en ces ter-
mes: “C'est avec grand plai-
sir que j'ai accepté l'invita-
tion de notre présidente,
Mme Dégagné, de me faire le
porte-parole de tous les
membres du club pour vous
souhaiter ‘la plus cordiale
bienvenue à Saint-Boniface
et spécialement à notre club
Etant moi-même Québécoi-
se, il m'est toujours très
agréable de revoir des gens
de ‘“Chez-Nous'" (comme on
dit dans le Québec), Et
pardonnez-mol de vous don-
ner un détail personnel: ‘Je
demeurais à La Pocatière,
petite ville située entre Qué-
bec et Rimouski et un des-
tin heureux m'a conduite
\0l,"
J'imagine que pour plu-
sieurs d'entre-vous, ce voya-
ge est votre premier dans
l'Ouest canadien; vous a-
vez bien choisi la saison
pour voir nos grands champs
de céréales et nos énormes
troupeaux d'animaux spéclia-
lement en Saskatchewan et
en Alberta et que dire des
hautes montagnes de la Co-
lombie, des routes sinueu-
ses qui les contournent,
sans oublier les précipices
profonds qui nous effraient
un peu quand nous roulons
à haute altitude.
Après cette intéressante
tournée vous direz, sans
doute avec satisfaction, ‘Le
Canada est un beau et grand
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La chorale des Intrépides reprendra ses activités dès le 10
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comptons recruter de nouveaux
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Intrépides sont invitées à se
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sant de le visiter,"
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le temps des loisirs et em-
ployer ses loisirs pour faire
un voyage intéressant, si la
santé le permet, n'est pas un
luxe, c'est plutôt revenir à
la hiérarchie des valeurs, à
l'importance des choses,
Faire un beau voyage,
c'est quelque chose que
beaucoup de gens désirent
toute leur Vie, mals dans no-
tre temps, je veux dire quand
nous étions jeunes, || nous
manquait deux items Impor-
tants: le temps et l'argent.
Nos gouvernements actuels
ont compris que les bâtis-
seurs de notre pays ne de-
valent pas être relégués plus
longtemps dans l'oubli et
qu'ils se devaient de pro-
mouvoir leur bien-être, Pour
ce faire, ils ont rendu possi-
blé la construction de foyers
Pour personnes âgées, ils
ont mis sur pied de multi-
ples organisations, et les
clubs pour personnes âgées
ont fait leur apparition avec
tous les avantages qu'ils
procurent à leurs membres.
J'ai lu quelque part: “Si les
clubs d'Age d'Or n'existaient
pas, il faudrait les fonder."
Permettez-moi de vous ré-
péter: “Bienvenue parmi
nous et bon retour à Sher-
brooke."
La soirée avec eux se pas-
sa agréablement, ces gens
ne boudent pas le plaisir
et savent donner du bonheur
aux autres,
Après un substantiel goû-
ter vers les 11 heures, nos
visiteurs nous ont remerciés
et salués en chantant très
fort le refrain bien connu:
“Bonsoir, mes amis, Bon-
soir”, et des ‘Au Revoir"
chaleureux furent échangés.
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trous, || remporta la victoire
finale avec un total de 73
coups, gagnant ainsi le tro-
phée CKSB, Maxime Desaul-
niers enleva le trophée Air
France,
La journée s'est terminée
par le traditionnel banquet
au Club La Vérendrye, au-
quel assistait à la table
d'honneur, M, René-E, Tou-
pin, ministre du tourisme et
des loisirs, à côté du Dr Gé-
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caux et monétaires tradition-
nels, mals la décision extra-
ordinaire d'appliquer une po-
litique autoritaire des reve:
nus en 1975, représente sans
doute le point culminant le
plus significatif de l'inter-
vention publique dans les
mécanismes du marché. Une
telle action en matière de
formation des revenus remet
en cause toutes les straté-
gles des individus, des grou-
pes ou des institutions rela-
tives à la prise de décision,
Les entreprises qui, somme
toute, sont déjà très fami-
llères avec une présence
continue de l'Etat, ont réagi
avec sang-frold à cette nou-
velle Intervention, Mais le
mouvement syndical, au
contraire, qui dans ce pays,
a à pou près tout misé sur la
convention collective, se
trouve maintenant en porte à
faux quant au degré d'in-
fluence qu'il est en mesure
d'exercer sur les décisions
qui l'affectent le plus, Le
mouvement syndical appa-
rat maintenant comme le
défenseur le plus acharné
de l'économie de marché,
André Raynauld, président,
Conseil économique du
Canada devant l'Association
canadienne du Club de Rome
Ottawa, le 14 juin 1976,
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L'apprentissage d’une langue est une conquête de chaque jour.
La langue est une science, certes, mais un art également. En conséquence,
elle doit être belle, et, pour servir de modèle, il importe qu'elle charme et
séduise l'étudiant. En un mot, il faut qu'elle plaise.
Aider l'étudiant à découvrir la beauté et la noblesse d'une langue, c'est
l'inciter à l’apprendre et à l'utiliser de façon permanente.
Pour soigner et améliorer son verbe, l'étudiant fait tout d’abord le bilan de
ses connaissances, prend conscience de ses lacunes et décide, de façon
libre et persévérante, de s'en corriger.
Étudier, connaître à fond et maîtriser une langue implique, non seulement
une étude méthodique et intensive, mais encore une immersion totale.
L'usage constant d’une langue ajoute une dimension à la vie quotidienne et
seule une langue vivante, i.e. une langue dont on se sert chaque jour, en-
traîne des automatismes dans la communication.
Ne pas utiliser une langue conduit à la dégradation et à la mort de cette
langue.
Toute langue est le miroir d'une culture. C’est pourquoi l'étude d’une langue
s'articule étroitement avec l'étude globale de la culture que sous-entend et
véhicule cette langue.
À la réunion de zone pour la région de Saint-Claude, M. Alfred Théroux,
LA LIBERTE, jeudi 26 août 1976 / 15
=
ne pour
Aimé et Maria (née Gayet)
Champagne célébrèrent leur
50e anniversaire de mariage,
le 7 août 1976,
A cette occasion, leurs
enfants, les proches parents
et les amis se sont joints à
eux pour assister à une mes-
se anniversaire célébrée spé-
cialement pour eux, en la
cathédrale de Saint-Bonifa-
ce, par leur neveu M, l'abbé
Robert Baxter, assisté des
abbés Bernard et Roland Bé-
langer, cousins de M, Cham-
pagne. Au cours de la céré-
monie il y eut renouvelle-
ment des promesses de ma-
riage et échange d'anneaux,
La cérémonie religieuse
fut suivie d'un banquet et
soirée au Club La Vérendrye,
avec M, Gilles Savoie, mar-
tre de cérémonies, M. Mar-
cel Champagne fit la présen-
tation des félicitations re-
ques de plusieurs dignitai-
res tel de Sa Sainteté le Pape
Paul VI, du Gouverneur géné-
ral du Canada M, J, Léger,
de M, le Premier Ministre
du Canada Plerre Elliott Tru-
deau, de Son Excellence le
Lieutenant-Gouverneur du
Manitoba M. F.L. Jobin, du
député de Saint-Boniface à
la Chambre des Communes
M. J.-P, Guay, du maire de
Winnipeg M. Stephen Juba,
50e ANNIVERSAIRE DE MARIAGE
etc, Les jubilaires reçurent
aussi de nombreux cadeaux,
M, et Mme Aimé Champa-
gne se marlalent à Sainte-
Geneviève, Manitoba, le 20
octobre 1926, Depuis 1941
ils demeurent à Saint-Boni-
face, M, Champagne fut au
service du C.N.R, jusqu'à sa
retraite en 1967,
Huit de leurs neuf enfants
vivants avec leurs familles
étaient présents aux fêtes
de leurs bien-aimés parents:
Edouard, d'Ottawa; Arthur,
de Cobourg, Ontario; A-
drien, Maurice, Marcel, de
Saint - Boniface; Henri,
d'Oakville, Ontario; Mme M.
Cadorath (Jeannine) de
Transcona; Mme Gilles Sa-
vole (Annette) de Saint-Bo-
niface; Géraldine, la deuxi-
ème de la famille, est décé-
dée en 1955. M. et Mme
Aimé Champagne ont vingt-
trois petits-enfants,
Assistaient aussi à ces cé-
lébrations les frères et
soeurs des jublilaires, M, et :
Mme Albert Gayet, de Sain-
te-Geneviève: M. et Mme
«L'Association Manitobai-
les Enfants ayant
des troubles d'apprentissa-
ge est heureuse d'annon-
cer l'ouverture d'une sec-
tion française de sa biblio-
thèque. Un projet d'emplois
d'été pour les étudiants a
permis à l'A.M.E.T.A. d'en-
gager deux étudiants franco-
phones pour faire la traduc
tion de plusieurs textes de
la bibliothèque anglaise. Les
portes sont ouvertes à tou
tes les demandes concer-
nant les services que nous
offrons, et nous souhaitons
que nos publications fran-
çaises puissent vous présen-
ter notre organisation.
Qu'est-ce que l'A.M.E.T,.
A.? L'A.M.E.T.A, est la divi-
sion manitobaine de l'Asso-
ciation Canadienne des En-
fants ayant des Troubles
d'Apprentissage. L'organisa-
tion est composée d'un grou-
pe de citoyens intéressés,
dont plusieurs sont les pa-
rents d'enfants en difficul-
té d'apprentissage.
E.T.A. fournit divers services
à ces enfants,
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L'A.M.E.T.A.
leurs familles. L'objectif de
l'Association est d'obtenir
des traitements après le dia-
gnostic, ainsi que des facili-
tés pour l'éducation spécia-
le des enfants ayant des
troubles d'apprentissage, et
de faire parvenir des rensei-
gnemerits aux profession
nels et aux Nous
tentons de fournir des ren-
seignements au sujet des
services de | implicätion S0-
clale
parents
Quels sont ces enfants en
difficulté d'apprentissage?
Ces enfants font preuve d'u-
ne intelligence moyenne ou
supérieure, mais leurs trou-
bles d'apprentissage font
suite à des désordres du
système nerveux central.
Vous remarquerez possible-
ment chez cet enfant l'hy-
peractivité, le manque d'at-
tention et de contrôle de ses
impulsions et de ses mouve-
ments. Sa compréhension
et son langage (oral ou écrit)
peuvent faire défaut et il est
peut-être incapable d'écou-
ter, de penser, de parler, de
lire. d'écrire ou de faire des
exercices d'arithmétique. Si
vous vous rendez compte
d'un écart énorme entre ses
capacités et son rendement,
sachez qu'on risque de dire
que cet enfant a des “trou-
bles d'apprentissage''. Ce
domaine englobe des états
tels que des handicaps per-
ceptifs, de légères dysfonc-
tions cérébrales, la dyslexie
et l'aphasie du développe-
ment, || ne comprend pas
cependant les enfants qui
ont des troubles d'apprentis-
sage causés par des handi-
caps de la vue, des mouve-
ments ou de l'ouie, l'arriéra-
tion mentale, les troubles
émotifs ou des facteurs du
milieu
Pour de plus amples ren-
seignements en ce qui a trait
aux différents services otf-
ferts par cette organisation,
veuillez adresser votre de-
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voyé, c'est que quiconque voit
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de Sainte-Anne-des-Chênes;
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ville; M, et Mme Louis Gayet
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Dans un article publié dans les journaux de la chaîïe Thomp-
son, (dont fait partie le Sudbury Star) sous la plume de
Richard Jackson, journaliste de langue anglaise qui mène
une campagne depuis toujours contre le bilinguisme et le
fait français au Canada, un député néo-démocrate, Max
Saltsman, (Waterloo-Cambridge) affirme que le Canada
angiais n'attendra plus que le Québec se sépare, il s'en dé
barrassera
"Il y a seize ans, le Canada anglais aurait envoyé l'armée pour
empêcher que le Québec se sépare, dit-il. Aujourd'hui, le
Canada anglais serait prêt à lui donner des sandwichs ef à
lui souhaiter bon voyage."
M. Saltsman se ‘e bien de dire que c'est là son opinion à
lui, C'est plutôt, uit-il, l'attitude et l'humeur du Canada an-
glais à l'heure actuelle
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Le député Max Saltsman [Waterloo-Cambridge) suggère l'unilinguisme:
le français au Québec, l'anglais dans le reste du Canada.
échec, selon le député NPD, S'il est poursuivi, le pays est
fini, Pour remédier à la situation, M, Saltsman propose l'uni-
linguisme: le français pour le Québec, l'anglais pour le reste
du Canada, “C'est ce qui se passe aujourd'hui, dit-il, Avec
la loi 22, le Québec est unilingue français et les autres provin
ces sont anglaises, Seule la région Ottawa-Hull pourrait de
meurer bilingue."
"Pourquoi se tourmenter, demande-t-il, en citant René Léves
que. Pourquoi est-ce qu'on ne parle pas chacun notre langue
tout en demeurant dans le même pays?"
Selon le député fédéral, le Canada anglais en a soupé du bi
linguisme du gouvernement fédéral, Ça coûte cher et les
gens veulent avoir la paix
Même si le Québec se sépare, croit-il, il n'y aura aucun pro
blème:Le Canada demeurera un pays, même sans le Québec
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Le “bilinguisme”
au Nouveau-Brunswick (suite)
Sur cette base, la SANB
reproche au premier minis-
tre Hatfleld d'utiliser à d'au-
tres fins, les fonds qu'il re-
çoit du gouvernement fédé-
ral pour assurer à la minorité
de langue officielle une édu-
cation dans sa langue mater-
nelle,
La SANB demande donc à
M. Hatfield d'utiliser une
partie de ces fonds pour as-
surer aux jeunes Acadiens
de Saint-Jean une éducation
complètement française
pour le début de septembre
1976,
Si le premier ministre du
Nouveau-Brunswick n'inter-
vient pas pour trouver d'ur-
gence une solution à ce pro-
blème, la Société des Aca-
diens mettra à exécution sa
menace de réaliser une cam-
pagne nationale de finance-
ment pour payer le coût d'é-
tablissement d'une école pri-
vée française à Saint-Jean,
La lettre de la SANB con-
clut: “Par le même coup,
nous serons obligés de dé-
montrer à la population ca-
nadienne que les Acadiens
de cette province sont abli-
gé6s de payer pour des droits
qui leur reviennent."
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bon fonctionnement de la bibliothèque à
L'ÉCOLE TACHÉ.
Le poste sera à demi-temps.
Entrée en fonction: Le 7 septembre 1976
Soumettre sa demande à:
Roger Milller
Directeur général adjoint
Bureau Central
50, chemin Monterey
Saint-Boniface, Manitoba R2J 1X1
LA DIVISION SCOLAIRE
DE SAINT-BONIFACE NO 4
demande
Instituteur/trice à plein temps
à la Maternelie de
L'ÉCOLE TACHÉ
pour la rentrée des classes le 7 septembre 1976
Prière de soumettre vos demandes à:
Roger Millier
Directeur général adjoint
Bureau Central
50, chemin Monterey
Saint-Boniface, Manitoba R2J 1X1
LE CERCLE MOLIÈRE
est à la recherche d'une secrétaire à mi-temps
Le travail exige une bonne connaissance du français et
de la dactylographie
Entrée en fonction: immédiatement
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Saint-Boniface, Manitoba R2H 3B4
dun 2 2 TELEPHONE: 233-8972
LE CENTRE CULTUREL FRANCO-MANITOBAIN
340, BOUL , PROVENCHER, ST-BONIFACE, R2H 0G7
est à la recherche
d'ANIMATEURS
à plein temps et/ou à temps partiel
pour la saison prochaine
(septembre 1976 à août 1977)
Certains postes devront être comblés
dès cet automne
Pour de plus amples informations,
veuillez communiquer avec:
Norman À. Dupasquier, directeur général
Le Centre Culturel Franco-Manitobainñ
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Saint-Boniface (Manitoba)
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pour le début de septembre 1976,
Le candidat devra être versé dans la
terminologie de l'éducation.
Salaire selon les compétences, l'expérience
et les qualifications.
Soumettre sa demande à:
Roger Millier
Directeur général adjoint
Bureau Central
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Saint-Boniface, Manitoba R2J 1X1
L'Office national du film du
Canada est à la recherche
d'un(e) secrétaire à
mi-temps
C'est un emploi à contrat, idéal pour la personne qui
désire supplémenter quelque peu à ses activités quo-
tidiennes habituelles,
Le travail exige une connaissance plus qu'adéquate
du français et une connaissance adéquate de l'anglais
et de la dactylographie.
La personne qui aurait des'aptitudes pour les relations
publiques, la rédaction et qui démontrerait un désir de
travailler à la distribution de films sera certainement
considérée sérieusement.
Entrée en fonction: début septembre au plus tard,
Faire parvenir votre demande à: (ou appelez):
Paulette Jubinville
représentante
Office national du film
674, rue Saint James
Winnipeg, Manitoba
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985-3194 où 985-3185
LE VILLAGE DE
SAINTE-ANNE
demande
UN CONSTABLE
Les candidatures seront reçues jusqu'au
7 septembre 1976
Salaire à être négocié - salaire actuel présentement en
révision par la commission de lutte contre l'inflation.
Indiquer âge, expérience et salaire demandé.
Adresser votre demande au
Secrétaire-trésorier
Village de Sainte-Anne
Sainte-Anne, Manitoba
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de 7h30 a.m, à 3h30 p.m.
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ploi à mi-temps, Expérience non requise, Du lundi au
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Nettoyeur(euse) de fenêtres en aluminium. Salaire:
$3.25 l'heure, Expérience de préférence, Il s'agit de
polir des fenêtres qui sont déjà montées - Travail dans
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année, Fonction de caissier(ière) dans une station ser-
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